Le MSP serait donc prêt à revenir au gouvernement dans le cadred’un « gouvernement d’entente nationale qui ferait face aux dangersqui menacent le pays».
C'est donc par une pirouette, mettant en avant des "dangers", que le MSP lâchera ses copains, les chefs de parti de la Coordination pour les libertés et la transition démocratiques (CLTD), soit le RCD, Jil Jadid, le FJD et Ennahda, les anciens chefs de gouvernement Ahmed Benbitour et Ali Benflis pour Talaiou El-Houryet, le président du parti non agréé UDS, Karim Tabbou, le président de la Laddh, Salah Dabbouz avec Ali Yahia Abdenour.
Néanmoins, pour ne pas perdre la face, le premier responsable du MSP pose une condition :« que les élections législatives sedéroulent normalement ».