La fausseté d'un presque octogénaire, que les hasards de la vie politique ont hissé au poste de chef de gouvernement de Bouteflika, vient de lancer "l'appel de Cochin", lui qui a tant vilipendé les " décrets du Val de grace", aux fins de faire croire qu'il se trouve à Alger.
Notre " grand serviteur de l'Etat" comme il aime se prétendre , dédaignant le système de santé de son pays, s'en est allé, pour de menus soins médicaux, se refaire une jeunesse à Paris, laissant une cohorte de courtisans rédiger et rendre public, à l'adresse du bon peuple, un appel sous conditions pour la tenue des Présidentielles.
Après ce tour de passe-passe, qui n’est pas son premier, notre " politique" réapparaitra sur les planches du théâtre politique pour vanter les mérites de la médecine de chez nous.
Une question à un dinar dévalué nous vient à l'esprit : qui va régler les frais princiers de son séjour Parisien ?
Il faut aussi s'interroger sur ce séjour dans la capitale française. Va-t-il au-delà de l’objectif médical et concerner sa prochaine aventure électorale ?.