On a eu lalambada, tube brésilien à connotations festives, qui a fait danser plus d’un.
Plusrécemment on a eu la remontada historique, œuvre des Blaugrana decatalogne qui ont bouffé du francilien avec le QSI comme dessert.
Depuis tout àfait récemment, on a chez nous la ‘’débandada’’, estampiléeEN-de-foot-après-la-déculotée !
Dansl’édifice, vermoulu, du Tout professionnel qui sert de raison- pour des raisonsque la raison ignore- aux biens pensants du rond de cuir national, des voix s’élèventpour crier «Pouce, on démissionne !»
Mais pas que.Des coulisses accablant exclusivement les adulés d’hier sont savamment fuitésdans la presse.
Qui les afuités ? Et à quels desseins ? Faut vraiment poser la question àZetchi.
Pourvu quelui ne s’est pas mis, aussi, à la danse de la ‘’débandada’’, le tube bien dechez nous !