Depuis le temps que des charognards detout acabit veulent bien dépecer le corps – obstinément robuste et sain,pourtant- de l’Algérie, les voilà qui augmententle tempo de la danse macabre, à présent.
Décennie noire- ou rouge-, pompeux printempsarabe- qui a souillé de sang le romantisme de la belle saison-, les funestesrendez-vous n’ont pas trouvé prégnance au pays.
Mais n’ont pas désarmé, non plus, les indécrottables chantres des droits humains,louchant par la petite ornière lasituation des migrant subsahariens, ici, mais occultant- coupable compromission, doublée d’infamie !-les crimes contre l’humanité, perpétrés à ciel ouvert par les avortons de Sion.
A cela s’ajoutent ‘’les masturbationscérébrales’’ effrénées du Makhzen marocain d’à côté. Quoiqu’inoffensives pourcause de libido cramée par les stups-florilège du Royaume- et qui rend vaine toute remontée des bretelles.
Mais l’un dans l’autre, le carrouselest enclenché, déclenché par des ONG perverties, des commissions onusiennesjouant les vierges effarouchées et les délires d’une monarchie marocaine quivoit du Pasdaran sur les hauteurs d’Alger et derrière chaque Polisario.
Trop de coïncidence pour être fortuit !
Risques et périls ? Soit ! Maisla bonne nouvelle est qu’ au bal des charognards, l’Algérie a cette réputationforgée de redoutable videur.