Au pays oùl’on s’attache le plus à la sacralité des saints hommes, des zaouias outout simplement des hommes de bien, pourrait-il y avoir une corrélation entrecet entendement et le déblocage, aujourd’hui, du sacro saint- pour rester dansle ton- du projet Peugeot Algérie ?

Si oui,alors le devrait-on, sûrement, à la baraka de ‘’Sidi Xavier’’ Driencourt,ambassadeur- récidiviste- de France en Algérie. Et néanmoins docte prêcheur dela bonne parole.  Fin diplomate, aussi. Hommede lettres érudit, itou.

Vrai que ceprojet, porteur de 1.000 emplois directs- et autres- a eu tout le temps d’êtretrituré, escamoté, vilipendé sur près de trois Premiers ministres- et autant devizirs- qu’abouti, aujourd’hui, dans l’heur et le bonheur, ne peut que renvoyerà quelque baraka advenue concurremment avec le retour de cet ami sincère del’Algérie à la chancellerie française.

Discret et humble, loin des paillettesscintillantes de la ‘’public Diplomacy US’’- par exemple- a une fois professé :«Nous avons des projets pour nos amis algériens».

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