Invétérésnoceurs, les Algériens ont fêté- dans la convivialité- le départ de l’ancien régimeà coups de ‘’dégagisme sonnant et bruyant’’.
Ils ont ensuitefêté le Ramadhan, Aïd el-fitr, la deuxième étoile africaine de l’EN.
Le tout sousd’interminables fêtes-en privé- de noces festives et de succès scolaires.
Ils s’attèlent,à présent, à préparer la fête du sacrifice. Et le bélier défraie la chronique.Tous les jours de la semaine. En dehors du vendredi de grâce. Et de hirak. Oùils prennent soin- méticuleux- de rappeler qu’il ne faille point mélangertorchons et serviettes.
Demain, serala rentrée à trois visages. Scolaire, avec ses surcoûts. Sociale, avec sesspectres menaçants. Et politique- d’évidence- avec ses gros dangers.
C’est là oùla fête risque de prendre fin. Pour laisser place à des orages effrayants. Qui-inhabituellement-roulent déjà, sous le ciel aoûtien.
En attendantde rouler sur la terre ferme ?