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L’apport du secteur privé national et international, à la réussite du nouveau modèle éconmique

10-05-2017 05:28  Pr Abderrahmane Mebtoul

 Le président de la République à l’occasion de la fête du 01 mai 2017 a tenu à souligner, je le cite :«  face à la  crise financière que l’État est déterminé à accompagner la promotion de l’investissement national, et en partenariat par son soutien multiforme et par l’amélioration de l’environnement économique.  Et le défi exige  du patronat local de se mobiliser, aujourd’hui plus que jamais, pour accroître l’investissement dans tous les secteurs et le déployer ainsi, à travers tout le territoire national par l’amélioration de  la  productivité et  compétitivité économique de sorte que les  entreprises  algériennes résistent localement à la concurrence extérieure et que la  production parte à la conquête de marchés extérieurs ».

 C’est dans ce cadre d’orientation qu’en   ce mois de mai 2017,  face aux tensions budgétaires, qualifiant  ce programme  d'ambitieux, la   Banque mondiale (BM) se propose d'apporter son soutien à l'Algérie dans le cadre du  partenariat stratégique qui relie l'Algérie et la Banque dans la mise en place de son nouveau modèle économique 2017/2030, pour  qui  avec les compétences disponibles  au niveau du Gouvernement (algérien), ce programme pourra être mis en œuvre  en dépit des défis existants Pour sa concrétisation, il s’agira impérativement d’approfondir les réformes structurelles  et de lever toutes les contraintes au secteur privé  national et international. Et e afin  de favoriser l’efficacité économique pour une croissance durable  au sein  d’une économie ouverte  tout en garantissant le principe de justice sociale.

1.-Historiquement, longtemps le secteur privé algérien s’est développé largement à l’ombre du secteur d’Etat selon le fameux slogan,  de secteur privé facteur complémentaire du secteur d’Etat. Or un véritable secteur privé productif a besoin d ‘autonomie. Or tous les rapports internationaux sont unanimes entre 2010/2017, le  milieu d’affaires contraignant dont la bureaucratie paralysante  et la sphère informelle dominante, freinent   les véritables entrepreneurs  producteurs de richesses.  Que l’on visite bon nombre d’anciennes zones industrielles (Est- Centre – Ouest ou la zone de Ghardaïa)   et l’on constatera  que bon nombre d’anciennes usines  se sont transformées en aire de stockage expliquant d’ailleurs le dépérissement du tissu productif où l’industrie représente à peine 5% du produit intérieur brut. La raison essentielle sont les contraintes d’environnement : bureaucratie pour  plus  de 50%, un système financier administré,( plus de 90% des crédits octroyés sont le fait de banques publiques), un système socio-éducatif  inadapté  et enfin l’épineux problème du foncier. A cela s’ajoute du fait  de l’ancienne  culturelle,  une méfiance  vis-à-vis du privé tant local qu’international  du fait que les  tenants de la rente ont peu de perdre des parcelles de pouvoir. Cela explique d’ailleurs  ces alliances entre la sphère bureaucratique  et certaines sphères privées spéculatives mues par des gains de court terme via la rente. Or le véritable dynamisme  de l’entreprise, qu’elle  soit publique ou privée  suppose une autonomie de décisions face aux contraintes tant internes qu’internationales évoluant au sein de la mondialisation caractérisée l’incertitude,  la turbulence  et l’urgence de prendre des décisions au temps réel. Par ailleurs, selon les données quantitative officielles   nous avons  la «prédominance» du secteur commercial et le caractère «tertiaire de l'économie nationale plus de 83% du tissu économique global.    Par ailleurs,   le tissu économique national est fortement dominé par les personnes physiques environ  95% alors que les personnes morales (entreprises) représentent seulement 5%, ce résultat étant  révélateur d'une économie basée essentiellement sur des micro- entités peu initiées au management stratégique.  Les quelques cas analysées  sont d’ailleurs confrontés  à de nombreuses contraintes, ne peuvent  permettre à eux seuls  une dynamisation globale de la production hors hydrocarbures, nécessitant  des milliers d’entrepreneurs dynamiques.  Car si  le secteur privé réalise 80% de la valeur ajoutée hors hydrocarbures du pays, qui ne représente d’ailleurs que 2/3% du total des exportations  contre 97/98% pour Sonatrach,  sa part dans l’investissement global est négligeable, certaines sources donnant 1,9/2% du total de l’investissement entre 2010/2016. D’une manière générale que représente le secteur privé algérien  face au chiffre d’affaires de Sonatrach qui contribue directement et indirectement via la dépense publique/via les hydrocarbures à plus de 80% du produit intérieur brut ? A cela s’ajoute le manque d’unification des organisations patronales  privées  où sans être exhaustif nous  avons la  Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA)  la Confédération générale du patronat (CGP-BTPH), la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA, la Confédération algérienne du patronat (CAP) , le Conseil supérieur du patronat algérien (CSPA),  l'Association des femmes chefs d'entreprises (-SEVE), le Club des entrepreneurs et des industriels de la Mitidja (CEIMI). Quant au Forum des chefs d’entreprises (FCE), il  est  considéré comme un Think tank (laboratoire d’idées) et non comme une organisation syndicale. 

2.- Les plus grosses fortunes en Algérie ne sont pas forcément   dans la  sphère réelle mais  au niveau de la sphère informelle notamment marchande avec une intermédiation informelle à des taux d’usure. Selon Deborah Harold, enseignante américaine de sciences politiques à l’université de Philadelphie et spécialiste de l’Algérie se basant sur des données  de la banque d’Algérie,  l’économie informelle brasserait  50 % de la masse monétaire en circulation. Ces données  sont corroborées  par  un document du Ministère du commerce algérien de  2014 pour qui existeraient 12.000 sociétés écrans avec une transaction qui avoisinerait 51 milliards d’euros soit 66 milliards de dollars, plus de quatre fois le chiffre d’affaires de  toutes les grandes entreprises du FCE  réunies.  Cette sphère contrôle au niveau de la sphère réelle 65% des segments des produits de première nécessité : fruit/légumes, marché du poisson, marché de la viande blanche/rouge et à travers des importations informels le textile/cuir,  avec une concentration du capital  au profit de quelques monopoleurs informels. Cette sphère liée à la logique rentière tisse des liens dialectiques avec des segments du pouvoir expliquant  qu’il est plus facile d’importer que de produire localement. Mais il ne faut pas se tromper de stratégie. Nous avons de nombreux entrepreneurs dynamiques  informels acquis à la logique de l’économie de marché qu’il s‘agit d’introduire dans la sphère réelle non par mesures administratives autoritaires mais par de nouveaux mécanismes économiques de régulation.  D’ailleurs on peut se poser cette question pourquoi la généralisation des projets  dans le  cadre de la  règle des 49/51%  avec des partenaires étrangers  concerne le secteur public  et le pourquoi de cet assainissement des entreprises publiques  de plus de 60 milliards de dollars  entre 1971/2015 du secteur public alors que 70% sont revenues à la  case de départ au lieu  d’une nouvelle affectation plus rationnelle au profit de nouvelles filières?  L’Etat régulateur a  un rôle stratégique en économie de marché afin de concilier les  coûts sociaux et les coûts privés. Le secteur privé algérien  a une attitude contradictoire tant vis-à-vis de la politique du gouvernement que de grands dossiers (OMC- Accord d’Association avec l’Europe..

3.- Le secteur privé national productif  a besoin de plus  d’autonomie  et d’espaces de liberté, ne signifiant pas  capitalisme sauvage et non assujettis aux aléas de la politique, en contrepartie  de la distribution de la renteL’objectif  est d’avoir une vision  stratégique du couple démonopolisation/ privatisation ?  L’on ne doit pas  confondre privatisation et démonopolisation complémentaire, tous deux,  processus éminemment politique,  allant vers le  désengagement de l’Etat de la sphère économique afin qu’il se consacre à son rôle de régulateur stratégique. La privatisation est un transfert de propriété d’unités existantes  vers le secteur privé et la démonopolisation consiste à favoriser  l’investissement privé nouveau. L’objectif de la démonopolisation  et de la  privatisation  doivent renforcer  la mutation systémique  de la transition  d’une économie administrée vers une économie de marché concurrentielle. La privatisation ne saurait s’assimiler au bradage du patrimoine public.  Pour cela, elle doit favoriser  une grande efficience de l’économie donc la croissance et la création d’emplois, substituer des critères de gestion économiques à des critères politiques,  éliminer les rigidités administratives, alléger les contraintes budgétaires, contribuer à la compétitivité et à la modernisation des places financières. Les privatisations présentent l’avantage de renforcer la capitalisation boursière d’une place, d’augmenter considérablement le nombre des transactions et d’améliorer la liquidité du marché et, partant, la capacité d’attraction de l’épargne étrangère. Elle doit permettre de lutter contre les rigidités syndicales,  la promotion de certaines entreprises sur le plan commercial et auprès des investisseurs étrangers,  favoriser et promouvoir des équipes de managers et développer une classe moyenne porteuse de dynamisme social. Aussi, la privatisation est avant tout un processus de restructuration globale de  l’économie avec des incidences politiques et sociales de recomposition du pouvoir, expliquant les résistances des tenants de la rente qui se servent au niveau du secteur d’Etat, les gagnants d’aujourd’hui n’étant pas forcément ceux de demain. La privatisation est donc un processus  fondamental d'une politique de relance  et doit être au cœur de la nouvelle politique économique pour trois raisons essentielles : premièrement,  sa contribution à l'effort de stabilisation macro –économique ; deuxièmement, à la promotion des exportations hors – hydrocarbures ;  troisièmement  à la transformation globale de l'économie par la réduction du chômage. En d’autres termes l’Etat entrepreneur et exploitant direct doit s’effacer peu à peu pour laisser place à un Etat exerçant la puissance publique et qui sera conforté dans ses missions naturelles d’arbitrage et de régulation. D’une manière générale, ce qui est stratégique aujourd'hui peut ne l'être demain. Car ce que l'on entend par secteur stratégique, et non stratégique doit être appréhendé, non en statique mais en dynamique du fait à la fois de l'évolution du monde et de la structure de l'économie algérienne. Ainsi la règle des 51/49%  qui  se fonde sur une vision essentiellement idéologique dépassée, où l’on peut démontrer que  le partenaire étranger prend peut de risque, les  surcouts étant supportés par l’Algérie via toujours la rente, me semble inappropriée sans avoir défini ce qui est stratégique et ce qui ne l’est pas à partir de critères objectifs (voir A. Mebtoul dans  Jeune Afrique contribution 2012).  Le blocage  de l’investissement en Algérie  ne réside pas   en des changements de lois ou  d’élaboration de stratégies utopiques,  vision bureaucratique, comme on ne combat la sphère informelle,(40% de la masse monétaire en circulation avec une concentration du capital argent au profit de quelques oligopoleurs tissant des liens avec certains segments du pouvoir de la sphère réelle,  elle-même produit de la logique rentière  et de la bureaucratie, par des  mesures administratives autoritaires où il est plus facile d’importer que d’investir. 

4.- Quelles sont les contraintes rencontrées sur le terrain pour dynamiser les privatisations? Je recense cinq contraintes institutionnelles en Algérie. Premièrement,  les expériences réussies qui ont suscité l’adhésion populaire montrent  la création  d’une grande Agence des privatisations, ayant une mission transitoire, composés d’experts de hauts niveaux,  relativement autonome  sous la dépendance  de la présidence ou du chef du gouvernement ou des parlements.    Deuxièmement, il s’agit d’éclaircir concrètement les relations    fonctionnelles qui ne sont pas clairement définies notamment entre les Ministères sectoriels dont celui de l’industrie , les structures du Ministère des Finances  (direction des domaines, de la fiscalité, des douanes- et des banques primaires),  pour éviter les susceptibilités entre différents ministres- en termes de pouvoir économique-   et  les relations avec les  autorités locales qui n’ont pas été associées à ce processus alors qu’ils entretiennent des relations directes  avec l’environnement. Sans leur adhésion ce processus peut être avorté.  Troisièmement,  ne   convient-il pas de mieux définir à l’avenir  ce que l‘on entend par partenariat  loin de tout slogan idéologique, l’objectif  étant l’efficience économique base  de la  cohésion sociale future, avec l’autonomisation de la décision économique évitant les fameux slogans des chartes socialistes du passé secteur privé facteur complémentaire du secteur d’Etat ?  Quatrièmement,   l’expérience menée sur le terrain a montré  des comptabilités défectueuses,  existant un écart entre le  réel et le bilan coté terrain, la majorité  des unités évaluées n’ayant pas  de comptabilité analytique afin de cerner les couts. Cinquièmement,  les délais entre  le moment de sélection de l’entreprise à privatiser, les évaluations, les avis d’appel d’offres, le transfert  au Conseil des Participations de l’Etat sous la présidence du chef du premier ministre , puis au Conseil des Ministres  et la délivrance du titre final de propriété  ne sont pas clairement  datés ce qui risque de décourager tout repreneur. Car, en ce monde les capitaux  mobiles vont s’investir là où les obstacles économiques et politiques sont mineurs, le temps étant de l’argent. Or seule une synchronisation clairement définie permettrait   d’éviter les longs circuits bureaucratiques. Les répartitions de compétences devront être précisées pour savoir  qui a le pouvoir : de demander l’engagement d’une opération de privatisation ; de  préparer la transaction ; d’organiser la sélection de l’acquéreur ; d’autoriser la conclusion de l’opération ; de  signer les accords pertinents et de  mettre en œuvre les accords de privatisation et s’assurer de leur bonne exécution. Aussi, il  faut être attentif à  tant à la méthode que la  technique   de privatisation qui ne sont pas neutres mais traduisent des rapports de forces au niveau de la société,  soit la volonté d’accélérer le  processus soit d’opter pour le gradualisme. Le processus de privatisation comprend plusieurs phases contenues dans un programme subdivisé en plusieurs étapes dont certains constituent un passage douloureux mais déterminant pour l’entreprise. La méthode usuelle consiste à établir d’abord un diagnostic aussi complet que possible comprenant: la situation de l’outil de production, la qualité des produits,  la position commerciale,  l’analyse de la compétitive avec des normes internationales, le diagnostic financier, le diagnostic fiscal, l’étude de l’ environnement local, national et international, l’évaluation du management et la qualification du personnel A l’issue dû diagnostic l’on peut élaborer un scénario de privatisation, accompagné de plusieurs alternatives tenant compte de la politique économique du gouvernement, des contraintes qui s’imposent tant au pays qu’a l’entreprise ainsi que des propositions de choix stratégiques à moyen et long terme. Ces propositions concernent en général: le plan budgétaire,  le plan industriel, le plan financier,  le plan commercial, le plan d’emploi,  et la mise en œuvre du calendrier.  C'est la demande c'est à dire le marché qui est l'élément déterminant (taux directeur du profit, existant un marché mondial de privatisation) et non l'offre. C’est donc le taux de profit  sectoriel mondial  qui est indicateur de référence  et dans la plupart des pays qui ont engagé la privatisation, il y a eu décote d'environ 20 % par rapport à la valeur déterminée, (en comparaison à des projets neufs) pour attirer les investisseurs nationaux, internationaux. C’est d’ailleurs avec cette illusion bureaucratique des années 1970/1980 que certains récemment en Algérie croient  que c’est l’Etat à décider par une politique volontariste  de créer telle ou telle filière. L’économie algérienne est appelée à évoluer  au sein d ‘une économie ouverte, étant liée à un Accord d’Association, voulant  adhérer à l’OMC.  Est ce que ces filières que l’on installe aujourd’hui, opérationnelles seulement vers 2017/2022  seront pérennes lorsque le dégrèvement tarifaire sera  zéro  horizon 2020 ?

5.- Cependant, il  faut s’attaquer à l’essentiel qui  est une gouvernance mitigée, liée à une profonde moralisation de ceux qui gèrent la Cité. Sans vision stratégique, comment adapter l’Algérie à la mondialisation par plus d’espaces de libertés,   en levant  les contraintes d’environnement afin de permettre l’épanouissement de l’entreprise créatrice de richesses, en combattant non par des textes mais réellement   cette corruption socialisée qui menace les  fondements de l’Etat algérien, poussant la majorité à se tourner vers les valeurs spéculatives, il ne faut pas attendre  à une véritable relance économique. Il y a lieu de souligner que la base de la réussite des réformes  doit  reposer sur une transparence totale et une large adhésion sociale. Dans les pays développés le niveau élevé d’éducation favorise la transmission de l’information étant  dans une économie de marché structurée. En cas de non vision stratégique axée sur la concurrence, le processus de libéralisation qui  doit être maitrisée grâce à l’Etat régulateur,  s’avérera un échec patent avec le risque de passage d’un nouveau  monopole privé spéculateur,  favorisé par le Monopole source d’inefficience.  Comme nous l’avons montré dans plusieurs contributions nationales et internationales récentes en posant la problématique du futur rôle de l’État dans ses relations avec le marché, il s’agit de faire naître le marché dans un contexte de non marché à travers cette mutation systémique bouleversant la cohérence des anciens réseaux, pour créer une dynamique nouvelle à travers de nouveaux réseaux acquis aux réformes( de nouvelles forces sociales) dans le cadre d’une nouvelle cohérence synchronisée avec les mutations de l’économie mondiale. Cette dynamique sociale est seule à même d’éviter ce manque ce cohérence et de visibilité dans la politique socio-économique dont les changements perpétuels de cadres juridiques (fonction des rapports de force au niveau du pouvoir) en est l’illustration où  plusieurs centres de décisions politiques, atomisant les décisions  et rendant volontairement opaques les décisions,  traduit le non consensus. Aussi insérer le secteur privé  sans distinction  avec un  secteur d’Etat  comme  le stipule la nouvelle Constitution   suppose une volonté politique de libéralisation conciliant l’efficacité économique et une profonde justice sociale ce qui ne signifie pas  la fin des entreprises publiques ayant  de brillants managers  qui doivent évoluer dans un cadre concurrentiel supposant l’application de leur autonomie relative en ce monde  turbulent et incertain devant prendre des décisions de management stratégique au temps, réel. Or le retour à la gestion administrée ne peut que  bloquer  les énergies créatrices. La  réussite  de la dynamisation du secteur privé national et international condition de al réussite du modèle de développement économique  est intiment liée à l’approfondissement de la  réforme globale  dont   la réussite est conditionnée  par une plus grande visibilité dans la politique socio-économique, un  Etat de Droit, et la démocratisation des décisions économiques  renvoyant à la transparence la plus totale. L’on doit  éviter ce slogan creux  de bradage du patrimoine public  par les tenants de la rente et donc  de diaboliser tant le secteur privé national qu’international qui créent de la richesse.

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 NB- Professeur Abderrahmane Mebtoul , auteur de 20 ouvrages et plus de 600  contributions nationales/internationales- membre de plusieurs organisations internationales, Expert international –Expert comptable de  l’Institut supérieur de gestion de Lille (1973) -Docteur d’Etat en gestion (1974) - Directeur d’Etudes Ministère Energie/Sonatrach 1974/1979-1990/1995-2000/2006- ancien magistrat- premier conseiller à la Cour des comptes (1980/1983)  président du Conseil algérien des privatisations -rang Ministre Délégué- (1996/1999) –Directeur d’Etudes au cabinet de la sûreté nationale- DGSN - (1997/1998) - Expert indépendant  à la  présidence de la république 2007/2008 - et Expert indépendant, auprès du premier Ministre de 2013 a ce jour  a eu diriger de nombreux travaux pour les gouvernements  successif de 1974 à 2016 .

PS – Je suis un des contributeurs ayant permis l’élaboration de ce modèle économique qui ne peut réussir que porté par des forces sociales politiques et économiques.



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