Après toutpourrissement, vient inéluctablement l’irréparable. En gangrène avancée, c’estl’amputation. Archi connu !
Dans lesgrèves-surtout celles à caractère illimité- en secteurs sensibles, quand il n’ya plus de dialogue, ça ressemble à une gangrène.
Et forcément,la cure passe par le scalpel.
C’est cequ’on fait dans l’Education actuellement, via des thérapies de choc. Mise endemeure et radiation.
La bellejambe que ça fait à l’école. Publique. Le détail a son poids.
Car en sommeet NBR- Nouria Benghabrit Remaoun- vient de le pointer : n’est- ce pas desa belle mort qu’on destine l’école publique, au final ?
Of course,la ministre ne dira jamais qu’elle aurait donné l’injection létale fatale -quelque peu, quelque part- s'il s'en trouve !