Dans ce brasde fer, aux allures de pots- pourris, entre le CNAPESTE et l’Education, l’imageidyllique du maitre d’école- déjà largement écornée jusque là- s’en trouve àprésent horriblement enlaidie, à travers des prismes déformants.
Les élèvesqui sortent pour la manif dans la rue n’ont qu’un grief à la bouche. Lessuppléants proposés par une Institution d’Etat sont incompétents !
Un délitdouble de potaches, confondant école et gradins populistes des stades.
Une gabegiedont ils ne sont en rien responsables, pourtant. Les coupables sont à chercherailleurs.
Dire qu’unpenseur éclairé a dit du ‘’môaâlim’’ qu’il était presque un prophète !