Dans son numéro 3002 du 22 au 28 Juillet 2018, la revue française Jeune Afrique a gratifié le ministre conseiller du Président de la République, Tayeb Belaïz, dernier venu au cabinet présidentiel depuis sa fin de mission en qualité de ministre de l’intérieur et des collectivités locales, d’un article qui pèche par beaucoup de flagornerie et de contrevérités.
L’auteur de l’article a affublé le bénéficiaire de sa bienveillance de la fonction de directeur de cabinet de la présidence alors que les affaires courantes de la direction de cabinet son expédiées, à titre intérimaire, par le secrétaire général El Okbi Habba, depuis le départ de Ahmed Ouyahia.
Tayeb Belaïz n’a d’autre rôle que celui d’assister aux réunions du conseil des ministres et de figurer au cordon d’honneur protocolaire.
Aucune mission particulière ne lui a été confiée jusque là. Son échec au ministère de l’intérieur l’a privé de toute possibilité d’exercer la moindre influence au sein de la présidence ou ailleurs. D’aucuns diraient qu’il se trouve dans une voie de garage.