RédhaTir nommé dimanche en Conseil des ministres comme président du CNES a été installé lundi par le Premier ministre AbdelazizDjerad qui a profité pour rappeler la mission de cette institution et l’intentionde son Gouvernement de la relancer avec sa mise en stand-by du temps deBouteflika.
Appeléà participer à l'édification d'une Algérie nouvellesur la base de la triptyque : développement humain, transition énergétique etéconomie du savoir et du numérique, le CNES, souligne Djerad, représente un large espacepour la concertation et le dialogue constructif afin de trouver des réponsescollectives et innovantes aux grandes questions de développement du pays.
Deson côté, le nouveau président du CNES, M. Rédha Tir, a indiqué que cetteinstitution consultative, créée en 1968, constitue un outil de soutien de ladécision publique et d'ouverture sur les libertés économiques, collectives etindividuelles et d'éclairage de l'opinion publique pour davantage d'adhésionaux politiques publiques.
Pour rappel, leConseil des ministres a approuvé, lors de sa réunion de dimanche, présidée parle Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, la nomination de M. RédhaTir à la tête du CNES.
notons enfin que la présidence du CNES est restée vacante depuis le décès de son président Mohamed Seghir Babes le 7 mars 2017.