Laphase-aller des huitièmes de finale de la Champions’ League a bouclé sa boucledans la soirée d’hier mercredi. Elle a été ponctuée par deux hauts faits d’armessignés Manchester City et l’Olympique Lyonnais.
Pour sonretour au stade Santiago Bernabeu, Pep Guardiola, légende vivante du FC Barceloned’hier, y a dispensé une leçon tactique magistrale, ruinant par la même le RealMadrid de Zidane Zidane, autre icône qui avait raflé le trophée trois fois desuite.
Le coachcatalan a troqué, à la surprise générale, son dogmatisme invétéré au profit d’unpragmatisme qui en aura bouché un coin à plus d’un, en se passant des services deses maitres à jouer Kun Aguerro, Rahim Sterling et autre David Silva.
Jouant sansavant- centre, Gabriel Jesus et Ryad Mahrez occupant les flancs, le coachcatalan a laissé jouer RMA à sa guise avant de porter l’estocade (2-1) dans ledernier quart d’heure de jeu, alors que les Merengues menaient au score.
Errementstactiques de Zidane ? Il venait de remplacer Vinicius qui étourdissait ladéfense ‘’Sky blue’’ quand son alter égo incorporait Sterling. Un résultat quiproscrit presque tout espoir aux Mernegue de rêver de quelque remontada à l’EtihadStadium, sur la base des deux précieux buts inscrits par ‘’City’’ à l’extérieur.
C’était làle dernier grand coup d’une manche, marquée plutôt par l’exploit de l’OL qui apu mâter la Juve de Cristiano Ronaldo, sur un but de Toussard, mais surtoutgrâce à la vista d’un Aouar et le néo olympien brésilien Guimarraes.
La semaine dernière, la tendance des supposés sans grande a été autrement plus marquée.
Et c’est l’AtleticoMadrid qui en a fait saillie en disposant du tenant du titre et néanmoins leaderinvincible de la Premier League, Liverpool (1-0), au moment où le Borussia Dortmundet son phénoménal Haaland faisaient mordre la poussière (2-1) à un PSG trufféde méga stars et gavé de leurs égos, à donner bien des indigestions.
La moisson ‘’perfide’’avait continué avec le succès insolent d’un nouveau venu sur la scène, l’Atalantaitalienne e, l’occurrence, qui a dynamité Valence (4-1) ou encore celui deLeipzig qui a fait mordre la poussière au finaliste de l’édition passée, Tottenham,sur ses propres terres (1-0).
Dans cettebourrasque footballistique, provoquée par ceux qu’on n’attendait pas, ou si peu,seul le Bayern Munich, qui a écrasé Chelsea at home (3-0) a émergé du lot et, àun degré moindre, le FC Barcelone, qui a pu contenir plus ou moins le SC Naples(1-1) dans un match-piège parfait.
Endéfinitive, si les jeux restent ouverts pour la qualif aux quarts de finale dela prestigieuse épreuve européenne des clubs, il reste qu’une tendance a prisforme, celle qui prévient de l’imminence de surprises et où les supposés grandsrisquent de rester à quai.