«L’identité nationale, la place del’islam, le flou concernant les questions les libertés de culte, l’absence deprécision quant à l’unité nationale et la question de le langue» constituent autant d’articles,pointés dans la nouvelle Constitution, qui fâchent grandement l’association lesoulémas musulmans algériens.

C’est ce qui ressort d’un communiqué,publié sur la page Facebook de l’Association, à l’issue d’une réunion, tenue àParis (France) vendredi passé, de son Bureau national et consacrée à l’analysede la mouture finale de la nouvelle Constitution proposée au référendum populaire, le 1er novembre 2020.

Elle en remet une louche, jugeant que«la consécration du principe de la neutralité des institutions éducatives,constitue, idéologiquement, l’éloignement de l’école de son identité et de sonnationalisme», a-t-elle souligné, encore.

En conclusion, l’instance que présideAbderrazak Guessoum appelle t-elle Présidentde la République  à considérer «le danger»que représentent de tels articles, les assimilant, pour sa part, à «desbombes à retardement».