En dépit d’un renfort maximal aumercato d’hiver et dont on disait qu’il allait redresser la JSK, sans coupférir, le club quasi mythique du Djurdjura mord de nouveau la poussière àEl-harrach ( 1-0). Au bout de cette énième déconvenue, les Canaris deviennentdes relégables en puissance. Une triste réalité qui donne la chair de poule àleurs fervents supporters.
Dans une autre tentative, tout autant pathétique qu’éculée,d’éteindre l’incendie, le chairman kabyle fait sauter le fusible, enl’occurrence Soufiane Hidoussi, un illustre inconnu technicien tunisien, plus «blabla » que coach émérite.
Un autre castingfaux de faux de la part de Moh Cherif Hannachi qui refuse d’admettrel’évidence : l’échec total de sa politique. Par les temps qui courent, unetelle posture foisonne à tous les niveaux.
Comme si tous les responsables de clubs, hormis certainesexceptions, ont pris de la graine sur la tête pensante d’un football nationaldont le ciel s’assombrit en amont et en aval. Les gros orages menaçantss’amoncellent. Gare à la foudre !
C’est qu’on ne joue pas indéfiniment avecla fibre footballistique, très pointue céans, en combinant prestige et bizness. Il est temps pour lesRaouraoua , Hannachi et affidés de sortir sur la pointe des pieds.