Petit match. On attendait le Paris-SG ronflant des quatre fantastiques, on a vu une héroïque équipe stéphanoise tenirla dragée haute aux franciliens, alors qu’elle jouait à 10 depuis l’expulsionde son emblématique capitaine, Loïc Perrin, pour faute sur Mbappé qui a dûquitter le terrain.
A la 14’, on avait vu ‘’Bip bip’’accélérer et fusiller Moulin qui bloque, renvoyant la balle sur les pieds d’un Neymar (Photo) étrangement démarqué.
A 1-0, l’on croyait à un cavalierseul du champion de France. Chose qui aurait pu advenir n’était la vista duportier Moulin, auteur de plusieurs arrêts.
Côté ‘’Sainté’’ Boudbouz et Hamoumadonnaient l’impression d’être absents physiquement. L’équipe de Claude Puel aporté à maintes reprises le danger mais la finition ne suivait pas, faute d’unecondition physique aléatoire.
Ce n’est qu’au moment où, en deuxièmepériode, le coach stéphanois injecta du sang neuf que les velléités stéphanoisesdevenaient plus tranchantes.
Dans le dernier quart d’heure jeu, etnotamment dans les ultimes minutes de la partie, les actions des verts jettentun froid dans les rangs parisiens. En vain.
Le PSG accroche son treizième trophéeà son palmarès. Sans grande gloire, faut-il admettre.