Les plus optimistes craignaientle pire pour le Paris SG lors de sondéplacement , mardi à Old Tafford, pour la première levée des huitièmes definale de la Champions’ League.
En cause, deux paramètresfrappants .
L’absence dans ses rangs de deuxdes pièces majeurs, Neymar et Cavani et l’avènement d’un Manchester City, qui défrayait la chronique en Premier League, alignant 10victoires et un match nul en autant de rencontres toutes compétitionsconfondues ; après la venue de Solksjaer à sa tête.
Mais au ‘’Théâtre des rêves’’,les illusions du Norvégien et ses troupes ont tôt fait de tourner au cauchemar.
Il faut le dire tout de go,le PSG a supplanté son adversaire à tous les niveaux. Les puristesdécouvraient, émerveillés, une formationfrancilienne jouant ‘’en équipe’’irréprochable, généreuse et solidaire montrant une maitrise technique de hautrang.
Maitrise tactique aussi, œuvred’un Tuchel qui a réussi à mettre en œuvre un schéma –assassin pour les Pogba,Rashford et autres Lingard et Martial.
Littéralement submergé, Man U. a fait de la résistance au premier half maisa inéluctablement craqué en seconde période sous le coup de génie de LilianMbappé et un coup de patte magistral du défenseur Kimpembe.
La suite fut une insoutenablehumiliation pour les Red Devils, traduite par une possession de balleagrémentée de gestes techniques raffinés et insolents. Un régal pour les yeux !
En définitive, une prestationtellement de haut vol qu’elle interpelle les spécialistes sur le bien fondé dela présence de la méga star parisienne, Neymar, indisponible pour blessure, ouencore celle du goléador Cavani, pour les mêmes motifs.
Car le PSG aincontestablement réalisé son match –référence lors de sa sortie anglaise.Séduisant et irrésistible, il a tracé au marqueur son niveau européen. De ce PSG là, on en redemande !
Man U. lui reste auxantipodes.