Historique. La formation bretonne oùévoluent les internationaux algérien Bensbaïni et Zeffane a mis fin à une disette qui duredepuis 48 ans et cette même coupe raflée en 1971.
C’est un second tsunami qui a frappél’équipe du QSI, après son éjection enquarts de finale de la Champions’ Leaguepar un Manchester United remaniée. C’étaiten l’absence de la méga star brésilienne, Neymar, blessé alors.
Mais ce samedi , Ney était bienprésent et même réussi le 2-0 grâce un lob sublime.
Toutefois les co- équipiers de BenArfa ont résisté face à l’adversité Un CSC de Kimpembe et une réussite de Mexeront envoyé les deux équipes aux tirs aux buts, après des prolongationsstériles.
A ce jeu et sans trembler, à l’imagede Besbaïni pour le 5-4, les Rennais ont fait le plein, quand Nkunkuassassinait les siens en envoyant le ballon dans les airs (6-5).
Une victoire aux goûts de vengeanceconsommée à froid pour Hatem Ben Arfa, qui a connu la crois et la bannière ausein de son ex. Un goût exquis aussi pour l’axial des verts.
Mais surtout un cataclysme pour uneéquipe parisienne qui aura tout misé surtoutes les grandeurs possibles, pour ne se contenter, en définitive, que duseul titre de champion de France.