Comme il fallait s’y attendre, les forcesdu pacte de l’Alternative Démocratique (PAD) n’ontpas pu obtenir l’autorisation de tenir la «journée de mobilisation en défensedes libertésdémocratiques et du multipartisme» auprès de l’administration.

Les partis et acteurs de la société civilese sont donc rabattus sur la siège du Mouvementdémocratique et social (MDS), sis au 67 boulevard Krim Belkacem à Alger.

Bien qu’il n' y ait pas  vraiment grand monde compte tenu de l’exigüitédes lieux qui ne permettentpas d’accueillir plus d’une centaine de personnes, les principaux leaders del’opposition et les figures de proues du Hirak étaient tous présents.

De Mochine Belabbas à Zoubida Assoul enpassant par Mustapha Bouchachi, Nacer Djabiet Ali Laskri, Ali Brahimi et d’autres acteurs de la société civile à l’imagede l’ex SGde RAJ, Hakim Addad, ont tous répondu présents à la réunion.

Le président du RCD a ouvert le bal descommunications par un exposé sur le contextepolitique global et ses implications. Le sociologue Nacer Djabi, lui, a développéla problématique de la liberté de la presse et Me Mustapha Bouchachi a planchésur «les détentions arbitraires et l’indépendance de la justice».

 La séance de cette matinée à vu égalementla prise de parole de la présidente du Partidu changement et du progrès (UCP) Zoubida Assoul, du bâtonnier de Tizi Ouzou,Salah Brahimi et de l’ex membre de l’instance présidentielle du FFS, Ali Laskri.