Alors que les controverses semultiplient autour du rebond le l’épidémie du coronavirus dans le pays, leministre de la santé, Abderrahmane Benbouzid, a souligné qu’il s’agissait belet bien d’une deuxième vague.
Intervenant, dimanche sur les ondesde la Radio nationale, le ministre a évoqué la possibilité, pour les autorités,de prendre davantage de mesures plus drastiques en cas de hausse effrénée des contaminations au Covid-19, prévenantencore que «personne ne peut prévenirce qui va se passer dans l’avenir».
Mais Benbouzid note, toutefois, quela situation restait stable et sous contrôle, en dépit du millier de nouveauxcas enregistrés au quotidien, en comparaison avec d’autres pays, précisant ques’il est vrai que le nombre de contaminations était élevé, «nous ne sommespas encore arrivés à la situation qui nécessite un confinement général. C’estau jour le jour que nous devons agir», a-t-il expliqué.
S’agissant de la prise en charge desmalades, il pointé des stocks «plutôt rassurants», la disponibilité delits, celle prochaine de nouveaux tests de dépistage rapide et de l’oxygène, dontil a démenti le manque dans les hôpitaux, assurant même que «250 lits de réanimation dotés d’oxygèneseront mis à le disposition de ces infrastructures», a-t-il promis.