Le clasico Barcelone-Real Madrid,joué ce samedi, aura tenu toutes ses promesses tant il été spectaculaire etintense durant la majeure partie du jeu.
Le dernier mot est revenu auxMérerengues, aux pieds du mur après deux défaites consécutives en championnatet LDC
D’où le mordant des hommes de Zidane,alors qu’ils subissaient l’emprise des catalans et c’est bien Valverde qui sonne la révolte, dès la 5’ ( Photo).
Mais 3 minutes plus tard, le prodigeblaugrana, Ansu Fati, remettait les pendules à l’heure, pour dire que le Barçaétait là.
Au retour des vestiaires, l’élan de l’équipede Koeman allait être stoppé net, de par un penalty validé après consultationde la VAR, mais qui ferait débat, au profit de RMA. Ramos le transforme et c’est le tournant du matchpour le coach néerlandais, qui semble dépassé.
Pour preuve, Koeman a attendu la 83e minute de jeu pour apporterun changement massif, incorporant Giezmann, Dembélé, Trincao et ensuite Braithawaite. Trop tard !
Pire dans les temps morts, Modric, suppléant Valverde à la 69’ allait en rajouter une louche, enfonçant définitivementle Barça.
Coaching gagnant pour Zidane, quicraignait pour sa tête, avant match, mais pas celui de Koeman dont l’attrait du‘‘jeunisme’’, Fati et Pedri ayant disputé une grande partie de la rencontre, adû lui faire oublier qu’il jouait face au grand REAL Madrid.