Au plus mal en Liga, le FC Barcelonequi donnait au change en Champions’ League, réussissant le parfait cinq surcinq, y compris face à la Juventus à Turin même, s’est dramatiquement effondré,mardi soir, dans l’ultime round devant les Bianconeri.
0-3, une facture salée, aggravée parla perte de sa première place aussisymbolique qu’importante au profit de son bourreau du jour.
Quand le point du nul seulement lui suffisaitpour garder son trône, le Barça n’a, pis, pas pu préserver l’avantage du goalaverage, via le score acquis à l’aller (2-0).
Incommensurable catastrophe, certes,mais nullement imprévisible, surtout pas étonnante !
Dans cette soirée assassine au CampNou, marquée par les retrouvailles deMessi avec son plus cordial ‘’ennemi’’, Cristiano Ronaldo, ce dernier, transparentde bout en bout de la partie, a su pourtant marquer son territoire de par lesrésultats techniques dont il a finalement pris la part du lion en réussissantses deux coups de pieds de réparation.
A l’inverse, la star argentine asurvolé, dans le jeu, une rencontre oùil été non pas seulement le meilleur compétiteur des Culés, mais le seul. Toutautour de lui, c’était le désert. Et un certain Gianluigi Buffon qui l’a écœuré sur pas moins de cinq chauds essaisqui auraient pu, chacun faire mouche.
La faute à un coaching Koemanienobnubilé par le turn- over et plus encore par l’inefficacité et inefficience,mille fois confirmées dans les rangs blaugranas, d’un Griezmann que seul le chauvinisme aveugle desmédias français veulent ériger en MVP, cherchant, ce faisant, les poux sur la têtedu sextuple Ballon d’Or; coupable selon eux de ne pas se mettre à ladisposition plein et entière de leur'' Petit Prince''.
Oubliés, les caviars de la Pulga et les ratésmonumentaux du français, parfois face aux bois vides ? Zappés les contrôles grotesques et les passesmaladroites et imprécises dans des phases décisives ? Caricature: l'on nous apprend l'art de courir et de défendre pour un attaquent sensé ''mettre ça dedans'' surtout dans les grands rendez-vous!
Quand, à la fleur de l'âge et du talent, durant le grand Barça, Messi se ratait, seul le gardien Victor Valdes a manqué de le suppléer pour planter les buts et, on l' a vu hier, personne, Grizi en tête, n' a tenu ce rôle; ni même fait montre d'opportunisme pour ramasser ses escarmouches.
En vérité, et force est de le reconnaître,notamment pour les partisans du ‘’Tout Griezmann’’, ce dernier n’a jamais ététaillé pour le Barça et son ADN.
A présent que l’équipe catalane ait consommé sa déchéancesportive et semble l’avoir entérinée, au point de toucher le fond, il nefaudrait nullement s’étonner des envies de son maître à jouer de changer d’air,pour toutes ces raison cruciales et pour bien d’autres latentes.
Le Mercato d’hiver étant là, nul doute que Messitranchera pour un départ vers d’autre shorizons verdoyants, plutôt que le désert où on l’a confiné.
Nul ne devrait lui en tenir rigueur !