Choc de titans, la rencontre qui amis aux prises, mercredi pour le compte du match aller de la ligue desChampions, le Bayern Munich et le Real Madrid n’a pas atteint les sommités  attendues.

Enfermés dans des carcans tactiqueset la peur de mal faire, les deux équipes, notamment le Bayern, ont apparu tropfébriles.

La formation munichoise, amoindriedes Vidal, Coleman et autre Alaba, a vu encore les défections pour blessures deRoben et de Boateng.

Le reste, hormis Ribery qui s’est démenétoute long de la partie ; est passé à côté de la plaque, Lewandowski etMuller ratant des occasions en or.

Ce sera l’excellent latéral Kimichiqu réussira à donner l’avantage aux siens, avant qu’un autre arrière, Marcelo nerétablit l’équilibre.

Au retour des vestiaires, le mêmeschéma allait prévaloir, sauf que Zidane a eu le flair d’incorporer Asensio,dans un coaching payant puisque le suppléant d’Isco allait profiter d’une erreurmonumentale de la défense allemande pour porter l’estcode dans un stade de l’AlianzArena médusé.

Le Real a engrangé par là uneprécieuse victoire qu’il faudrait faire fructifier  au retour au Bernabeu.