Vital pour un journal électronique,l’internet disparait à Algérie1, en dépit d’une situation à jour en matière derèglement des factures téléphoniques de l’ADSL et des allers et retours incessants auprès des services d'Algérie Télecom .
En effet et graduellement, laconnexion s’estompe oscillant entre 10 secondes d’existence et d’heures decoupures.
Le fait s’est accentué depuis la mi-décembre 2017 pour prendre une tournure dramatique depuis mardi 2 janvier de la nouvelle année. Nous n’avons eu de cesse de multiplier les réclamations auprès desbureaux de Ben Aknoun et d’El Biar. En vain. Au niveau du siège du journal, nousn’arrivons plus à publier le moindre article de presse.
Une situation qui nous semblait audépart incompréhensible, a fini par lever des appréhensions inquiétantes pournous, d’autant que dans le même immeuble, les locataires ont une connexion desplus ‘’nickel’’.
De fait, la récurrence de tellespannes, qui ne sont pas nouvelles du reste, conjuguées à des réclamations infinieset sans aucune suite nous laissent penser que le coup est quelque partprémédité.
D’où la question : veut-on‘’tuer’’ Algérie1 ? Et qui est derrière un tel complot ?