le président d'El Moustakbkel a animé mercredi un point de presse pour exprimer sa "satisfaction" par rapport aux 48 sièges décrochés par son parti, un score qui fait de lui la cinquème force politique dans le nouveau parlement.
"Nous sommes très satisfaits des résultats obtenus par notre parti, c'est l'abotussement d'un travail de nos militants et de nos trructures qui se sont mobilisés sur le terrain en allant à la rencontre des citoyens pour leur expliquer notre projet, notre démarche", réagit-il.
Abdelaziz Bélaid, au delà des résulats de sa prpore formation, juge "logiques" les scores du FLN du MSP et du RND, qui, développe t-il ,"ont une base fidèle, une culture des élections et une histoire".
Abdelaziz Bélaid observe en outre que ces "légisaltives ont mis fin à la politique des quotas et des partis artificiels qui n'avaient d'existence que dans les salons, les réseaux sociaux et les journaux".
Au sujet de la participation au prochain prochain Gouvernement, Abdelaziz Bélaid confirme en rappelant que son parti 's'inscrit pleinement dans la démarche du président de la République, en rappelant son soutien à sa feuille de route, marquée par la révison de la constitution, les législatives, en attendant les élections locales pour parachever l'édifice instituionnel".
Après l'installation officielle de l'Assemblée, il y aura des discussions entre les différents groupes, il y aura également un dialogue avec le président de la République en prévison de la formation du Gouvernement pour aller vite à la mise en place des réformes économiques et sociales".
Au sujet de la Kabylie, qui a majoritairement boycotté les urnes, le président d'El Moustakbel s'est répandu en hommages à l'égard de cette région pour la contribution de ses hommes et femmes à la révolution", ajoutant que "la majorité de ses habitants sont des patriotes attachés à l'Algérie et à l'unité de la nation".
Abdelaziz Bélaid a dénoncé "le terrorisme" exercé par "un groupe"(le MAK NDLR) sur les citoyens qui, selon lui, "ne sont pas allés voter non pas par conviction, mais par peur". Et d'ajouter que "quand on se dit démocrate et partisan du pacifisme on respecte l'avis des autes on impose pas son avis par la terreur".