Syndicats d’écoles, d’hostos,jusqu’aux vieux retraités militaires- en attendant d’autres, pour sûr- selèvent ‘’comme un seul homme’’- Ah, la belle formule !- pour faire lagrève.
Les uns prennent en otage desmillions d’élèves- avec leurs parents-, les autres autant de patients- avec leurs familles- etles soldats au crépuscule de leur vie,les routes en ordre serré- métier oblige !-
Tous ou presque exigent rançon, enquelque sorte. Car tout compte fait, c’est de ça qu’il s’agit.
Disette oblige, c’est un peu façondroit dans le mur que ça fonce.
A moins que ça ne batte pavé pour autre chose enunderground, comme dirait l’autre.
On n’en sait pas grand-chose au justemais faut faire gaffe à ne pas tropmarcher sur les œufs.
L’omelette qui en sortira ne sera quepourrie !