Massacreaprès massacre. En public. Grandeur et horreur nature !
On en dénombre près d’une vingtaine pour laseule année 2017 et jusque- là. Et près de cinq fois plus de victimes.Innocentes mais coupables du seul crime d’être là au mauvais moment. Au mauvaisendroit.
Quelque partles USA- C’est là où ça se passe- ont leur Daech local, comme qui dirait comme.
Librementconsenti et agréé ?
C’est queles armes- depuis le lointain far west- ont souvent plus de liberté que tousces migrants islamo- quelque chose ou les buveurs de tequila de la contrée d’àcôté.
Plus encore,depuis l’investiture d’un homme qui peine à sortir de la fiction d’Hollywood etde la fascination des armes. Des juteux marchés de leur industrie, surtout.
En dépoussiérantquelques vieux chefs d’œuvre de western- spaghetti, l’on ne comprend, alors,que trop bien certains génériques macabres d’Ennio Moriccone, style ‘’Là où lavie n’avait aucune valeur, au contraire la mort avait son prix !’’