Par Ali Benatallah
Je suis résolument opposé à la violence, je n'accepte pas l'injustice et je fais partie de ceux qui combattent la misère, la maladie et l'ignorance. Je suis un homme de paix. (Président Abdelaziz Bouteflika)
En cette période très sensible, il faut se rendre à l’évidence que la vigilance permanente est la condition essentielle pour faire avancer l’Etat Civil dans le sens positif de l’histoire. Et, pour mettre fin à l’hystérie des voyous politiques, il incombe à qui de droit de forcer le destin, avec la bénédiction du peuple des citoyens, pour donner la primauté à la force de la loi et ainsi frapper de nullité la loi de la force, à travers l’indispensable justice, sans laquelle il ne peut y avoir de société apaisée, stable et heureuse.
Dans ce contexte, il n’échappe nullement à la bonne attention du citoyen averti que la course contre le temps est de mise pour tracer une ligne de démarcation, claire et précise, entre le camp du bien et le camp du mal.
Le simple citoyen inspiré par la source des lois revendique l’Etat Civil émanant de la souveraineté populaire, parce qu’il est avide de connaitre les tenants et les aboutissants du règne de l’arbitraire frappant une élite qui a dédiée sa vie à la patrie, une élite porteuse de la somme nationaliste. Il faut dire que les fossoyeurs de l’image de marque du pays tentent, encore, de travestir les faits réels à travers une série d’argumentaires absolument stériles, injustifiés et injustifiables. Ils ne cessent de propager des qualificatifs diabolisant et des médisances démesurées contre les cadres de la nation, et ce, dans les lieux populaires que sont le café du coin, la rue à coté, la placette d’en bas.
C’est ainsi que Monsieur Chakib KHELIL avait opposé un NON catégorique, avec un courage politique exemplaire, aux agissements de la clique mafieuse qui cherchait désespérément à imposer son influence et son diktat pour faire main basse sur les ressources énergétiques du pays.
Homme d’Etat loyal et dévoué, doué d’une haute fidélité à la parole donnée et dont l’engagement d’honneur et le sens de la discipline sont inégalés. Et, jouissant de la confiance absolue du Président BOUTEFLIKA, il s’est donné pour mission de préparer l’Algérie à l’après pétrole en introduisant la transparence dans les comptes de SONATRACH et SONELGAZ et autres sociétés du même secteur. Et pour s’en convaincre, il faut faire une profonde méditation sur les témoignages des acteurs politiques, technocratiques et de la société civile qui apportent des éclairages significatifs, à titre de réponses aux accusations des uns et aux questionnements des autres, en levant le voile sur la cabale montée de toutes pièces contre Monsieur Chakib KHELIL.
DE LA FAMILLE REVOLUTIONNAIRE
Vouloir éliminer les Hommes fidèles au Président, c’est faire de BOUTEFLIKA la cible à atteindre.
En ce qui concerne Monsieur Chakib KHELIL, les voix les plus autorisées témoignent sur la vie et l’œuvre de l’Homme et les simples citoyens soutiennent le bilan de sa bonne gouvernance du Ministère de l’Energie et des Mines.
Au commencement, c’était la guerre de libération nationale, en ces circonstances la famille de Chakib KHELIL était à Oujda (Maroc). Son père aussi bien que sa mère étaient des moudjahidines des frontières Ouest. Ils sont cités, à titre d’exemple, par Monsieur Hamoud CHAID, dit le Capitaine Si Abderrahmane, dans son ouvrage intitulé « SANS HAINE NI PASSION » publié aux éditions Enag/Dahlab, Alger 2005.
Militant de la révolution, Monsieur Chakib KHELIL obtient durant la guerre de libération nationale une bourse du Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne (GPRA) pour des études aux Etats Unis (1960).
DE LA CLASSE POLITIQUE
De prime abord, ce feuilleton maquillé par des mains expertes est mis à nu courageusement par des Hommes d’Etat. Monsieur Amar Saâdani, ancien Secrétaire Général du FLN soutient résolument, dans son entretien accordé à Ennahar TV, que « Chakib Khelil est innocent, il n’a volé aucun dollar », a-t-il martelé avant d’ajouter que Khelil est le meilleur ministre de l’Energie de l’histoire du pays. Il estime que Chakib Khelil mérite un poste supérieur à celui de ministre.
Pour Saâdani, le retour de Chakib Khelil est une reconsidération de milliers de cadres algériens victimes d’injustice qui, devraient être rassurés que leur pays va bien et que la loi y est appliquée.
En s’exprimant sur Ennahar TV, Monsieur Ahmed Ouyahia, Ministre d’Etat, Directeur de Cabinet à la Présidence et Secrétaire Général du RND défend « Qui a sali Chakib Khelil ? C’est la rue. Les gens qui faisaient des déclarations. Et puis, les médias reprenaient », Pour lui, il n’y a rien à redire sur les compétences de l’ancien ministre de l’Énergie et des Mines qu’il a eu à côtoyer durant dix ans. Des compétences reconnues mondialement. Selon lui, le procureur général d’Alger avait obéi à des ordres qui venaient du ministère de la Justice.
Ahmed Ouyahia appelle également à réhabiliter les cadres de Sonatrach injustement mis en cause dans les dossiers de corruption, en suggérant même des réparations.
« Je comprends la réaction des citoyens ; pendant deux ou trois ans, on leur racontait que Chakib Khelil avait volé. Cependant, il ne figure dans aucune affaire de la justice algérienne », tout en affirmant que l’ancien ministre de l’Energie n’est pas poursuivi par la justice italienne.
Dans une déclaration au journal AL HAYAT, Monsieur Bouguerra Soltani, ex Ministre d’Etat, ex Président du Mouvement de la Société pour la Paix (MSP/HMS), évoque « J’ai travaillé avec l’Homme au sein du Gouvernement, il est imprégné de bons principes et valeurs. Je témoigne devant Dieu que Monsieur Chakib KHELIL est d’une compétence inégalable en son domaine en Algérie.
Aujourd’hui, avec la chute de prix du pétrole, le pays a grand besoin de cet Homme, de son savoir faire, de son carnet d’adresses, car, il dispose d’un vaste réseau relationnel international.
Pour sa part, le président de la Commission consultative des droits de l’Homme, Me Farouk Ksentini, bat en brèche les déclarations du Procureur Général de la Cour d’Alger, dans un communiqué à l’APS.
La présomption d'innocence est un principe constitutionnel du bénéfice et la protection duquel personne ne peut être privé, a-t-il rappelé. L'État de droit ne s'accommode nullement du lynchage médiatique, a souligné M. Ksentini. L'honneur de notre pays est celui d'être et de se comporter comme un État de droit et même plus comme une société de droit dont la caractéristique essentielle se ramène au respect de l'individu quels que soient l'enjeu et les circonstances”, a-t-il estimé.
Il a considéré que l'image de la justice algérienne devant être transmise est celle d'une institution sereine, scrupuleusement respectueuse de la présomption d'innocence, des règles de la procédure pénale qui commandent en l'occurrence la transmission du dossier à la Cour suprême en vertu du privilège de juridiction institué par la loi elle-même. Nous devons refuser les condamnations hâtives fondées sur la rumeur persistante et parfois sur la malveillance.
De même, il déclare au journal Le Temps d'Algérie, «Je ne comprends pas pourquoi cet ex-ministre est accusé sans aucune preuve. Pour le moment, il n'y a que la presse qui parle de corruption et autres détournements. L'Algérie est un pays de droit ».
DE LA SOCIETE CIVILE
La promiscuité dangereuse est située dans la gravitation autour de la source vitale du pays, la bonne affaire qui fait sentir la malsain.
Monsieur Ali Haddad, président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), a réagi à partir de Tizi Ouzou,(TSA). Le patron des patrons a affirmé que Khelil est un homme qui a servi son pays et il est le bienvenu, avant d’ajouter « qu’il y a eu des problèmes et il a dû partir, mais il est chez lui ».
Il a pris ensuite la défense de l’ancien ministre, affirmant qu’il n’y a « ni affaire Sonatrach 1, ni Sonatrach 2 », au sujet des scandales de corruption qui ont ébranlé la compagnie nationale d’hydrocarbures.La justice n’a rien retenu contre lui et toutes les personnes entrées en justice ont été acquittées,
Au sujet des accusations et soupçons de corruption qui pèsent contre Khelil, Ali Haddad estime que ce sont des affaires personnelles avant d’ajouter « el fahem yefham » (comprenne qui voudra). Une manière de laisser entendre qu’il s’agirait en réalité d’affaires montées de toutes pièces.
La juste réaction de Mr Omar Ait Mokhtar, Coordinateur du Mouvement Citoyen Algérien En France renseigne : Une cabale inouïe était organisée contre cette personne pour atteindre le président puisqu’à chaque fois qu’on évoque cette affaire, on parle aussi du président, de sa famille et son entourage !
Etant résident en France, j’ai pensé qu’il était de mon devoir de chercher la vérité sur ce détournement de fonds du peuple algérien supposé. Le MCAF dépose alors une plainte à Paris pour saisir les biens et bloquer les avoir bancaires des personnes citées à Milan (Italie) où nous sommes partie civile. Le MCAF détient donc des vérités que personne d’autre n’a.
Le procureur de Milan, Fabio Depasquale m’a dit durant la première audience qu’il ramènerait Chakib Khelil dans son bureau tôt ou tard mais trois mois après, il m’annonça qu’il n’ait rien trouvé à son nom, donc il ne pouvait, ni le convoquer, ni l’inculper !!!
Alors, croire tous ces écrits dans la presse. Ou ces commentaires sous couvert d’anonymat …Une diversion contre cette personne. Encore une fois celui qui détient des preuves qu’il les donne !!!
A cela s’ajoute la reconnaissance des associations qui se souviennent, encore et toujours, de l’instruction Ministérielle de Monsieur Chakib KHELIL, destinée à SONATRACH, SONELGAZ et autres sociétés de son secteur, afin de soutenir les actions associatives performantes, et ce, en présence de la presse.
Et actuellement, des dizaines de milliers de citoyens soutiennent la page officielle de Monsieur Chakib Khelil sur Facebook et les réseaux sociaux.
DES TECHNOCRATES
Les experts mondiaux aussi bien que les collaborateurs et cadres du secteur de l’énergie et des mines ne tarissent pas d’éloges sur l’Homme Chakib Khelil.
En se rapportant aux réalités économiques Noureddine Legheliel, analyste boursier auprès de la banque suédoise Carnegie, atteste que : L’ancien ministre algérien de l’énergie, Monsieur Chakib Khelil se trouvait á Washington (Aout 2016). l´agence américaine Bloomberg (la plus grande agence de l´information financière au monde) l´avait sollicité pour une interview. Les sujets évoqués concernaient la prochaine tenue du sommet de l´OPEP á Alger et un Outlook sur le marché pétrolier y comprit les futures évolutions du prix du baril.
Certains journaux et sites financiers américains attribuent la hausse de prix du Brent et celui du Wti, aux déclarations de Chakib Khelil sur la chaine Bloomberg. Y a t il un ministre algérien qui pourra faire bouger un marché pétrolier quelconque ?
L’abondance du témoignage de Monsieur Nabil Mekdad, PDG de la Société de Transports des Hydrocarbures (STH) nous fait découvrir l’Homme, en ce qui suit : Des compétences multiples de Monsieur Chakib Khelil, même ses détracteurs les plus acharnés, conviennent.
Je veux parler aujourd’hui de l’homme cultivé et affable, dont le trait de caractère marquant est la proximité notable qu’il recherche spontanément et constamment avec les cadres et personnel de son secteur pour se faire un point d’honneur de connaitre ses cadres et personnaliser les contacts de par l’échange avec tous. Son intérêt particulier pour les jeunes cadres n’est pas un simple discours, il insiste pour les rencontrer nombreux et partout lors des visites sur site, prenant note de toutes leurs préoccupations, prodiguant conseil et orientations. Une telle démarche prouve que la « relève » l’intéresse, que la relation humaine l’anime. Je n’ai pas souvenir que les jeunes cadres aient fait l’objet d’un tel intérêt et d’une telle valorisation, avant ou après lui.
Lors de la catastrophe de Skikda (Janvier 2004), je l’ai vu s’investir et accorder un intérêt exceptionnel au suivi médical des blessés et à la prise en charge psychologique des familles de toutes les victimes. Il tenait un véritable tableau de bord, il s’est investi personnellement et sans intermédiaires pour un suivi efficace de la situation. Son intérêt et son implication pour le social ont valu aux personnels des entreprises du secteur, d’avoir une totale couverture médicale et des plans d’actions et interventions adaptés. Cet intérêt pour le bien être des collaborateurs dépasse le cadre professionnel et est une véritable nature, tournée vers les autres. Sous son impulsion les œuvres sociales du secteur ont connu un essor notable.
Par ailleurs, il tenait à la proximité, sans protocole, il rappelait lui-même les cadres dirigeants pour s’informer de la levée des difficultés qui avaient été portées à sa connaissance, nécessitant son intervention.Monsieur Chakib Khelil organisait régulièrement des déjeuners de travail auxquels il invitait les P.D.G. et cadres centraux du secteur, qui se déroulaient dans une ambiance détendue et cordiale. Il est soucieux des efforts consentis, des résultats obtenus, des sollicitations de soutien, ainsi les cadres ont la certitude d’avoir été écoutés et leurs préoccupations prises en charges, car, les instructions sont données sur place aux cadres du Ministère.
Enfin de tous les ministres en charges du secteur de l’Energie et des Mines, seul Monsieur Chakib Khelil a pris l’excellente initiative d’organiser pour la première fois une « rencontre des cadres du secteur de l’Energie et des Mines » avec une forte participation de jeunes cadres.
En plus de l’aspect purement humain, la démarche du ministre procédait certainement de la volonté de rapprocher les cadres responsables, simplifier et faciliter les rapports intra sectoriels et développer l’esprit que l’individu est primordial et central dans toute démarche, Cette démarche procède à l’évidence d’une nature, d’une manière d’être et d’un intérêt sincère pour l’autre.
Certes, ce dirigeant hors pairs était très exigeant en matière de qualité et de quantité de travail, je garde le meilleur souvenir de l’atmosphère de travail imprimée par Monsieur Chakib Khelil.
Et enfin, des sources dignes de foi affirment que le Président Bouteflika, soucieux de vérité et de justice, avait ordonné une contre enquête approfondie sur la dite affaire Sonatrach, confiée aux fins limiers des services de renseignements et de sécurité, ils ont confirmé, en connaissance de cause, la nature de cette cabale, montée de toutes pièces, basée sur de faux rapports.
L’espérance légitime du peuple des citoyens est située aux antipodes de l’œuvre néfaste de la mafia politico-financière.
Il est de bon augure de prendre en considération la vision, claire et nette, de MAO TSE TOUNG (ancien Président de la Chine Populaire) « Là ou le balai ne passe pas, la poussière ne s’en va pas d’elle-même ».
Les indignés persistent à dire « Vous ne croyez pas en ce que nous croyons et nous ne croyons pas en ce que vous croyez. Le peuple des citoyens sait pertinemment que vos discours sont invalides et que nos convictions sont solides. Vous avez vos mensonges et vos calomnies qui ne feront pas long feu et nous avons nos vérités réelles pour atteindre les sentiers de nos rêves intimes à travers l’affirmation nationaliste et la confirmation de notre amour de l’Algérie éternelle. »
L’indispensable justice est la raison d’être de la Nation et la rectitude de sa composante humaine porte en elle les soucis majeurs de l’équité, car il y va de la dignité de la personne humaine, de l’honneur de l’élite éclairée et éclairante, de l’indépendance de l’institution judiciaire et, tout particulièrement, de la bonne réputation de l’Algérie.
Certes, la construction de l’Etat Civil, pierre par pierre, est une œuvre majestueuse de longue haleine qui nécessite, impérativement, la contribution de l’ensemble des couches sociales de l’Algérie profonde et plurielle.
Par devoir de mémoire et pour le réveil des consciences « Il n’y a de DIEU que DIEU et MOHAMED et Son PROPHETE ». Telle est la profession de foi en Islam.
Que tous les amoureux de l’Algérie se donnent la main pour qu’éclosent les roses de la paix durable et faire vivre l’Etat Civil.
Ali Benatallah
écrivain