L'Algérie a enregistré en 2012 une baisse de 15% de ses investissements directs étrangers(idE). En effet, ils sont passés de 2 milliards de dollars en 2011 à 1,7 milliards de dollars en 2012, selon un bilan publié par la banque d'Algérie.
Ce recul dans l'investissement étranger en Algérie est expliqué par certains analystes par l'introduction de la règle de 49/51 depuis 2010 qui limite à 49 % la participation d'un investisseur étranger qu'il peut détenir dans une entreprise locale. A cela s'ajoute l'obligation pour les soumissionnaires étrangers, pour les contrats publics, à trouver des partenaires locaux.
Pour les mêmes spécialistes, les nouvelles dispositions en question auraient aggravé le climat des affaires en Algérie.