Il y a 29ans, jour pour jour, comme une malédiction divine s’abat sur le pays. HouariBoumediène meurt. Contre le cours de l’Histoire dont il tissait des tressesd’or. Contre la fervente volonté d’une Nation qui l’adulait !
Un mythevivant s’en fut. Qui tutoyait la Grandeur. La Dignité. L’Amour de sa Patrie. Etde son Peuple.
Faudrait-ilseulement invoquer ces notions, aplaties désormais, à l’heure de s’incliner àla mémoire de l’Apôtre de la Liberté ? Le Père des Algériens. Et des Opprimésdu monde.
Ce grandpourfendeur de la ‘’Racaille du Capital’’. Et tous ses affidés. Pris enflagrant délit de trahison du Code de l’Honneur et du Serment des Braves. De tousles Braves. Du monde entier.
Nous n’avonsplus, Monsieur le Président, pour agrémenter un peu plus votre Repos éternel, que cettefierté- dont avez irriguée nos veines- à vous dire que l’Etendard des CausesJustes flotte toujours- et seulement- en votre Patrie.
Porté par cePeuple que vous avez tant aimé. Et qui ne cessera jamais de vous aimer !