Déjà que jeportais pas tous ces machins- trucs-chouettes qui tissent la Toile internet,sur le cœur.
Mais, hé-là minute :rien d’avachi, ni de croulant dans la tendance ! Mézigue assume tout juste,pour s’être revenu d’une ère grand-mère où il faisait bon y vivre, entre,tenez, le conte psalmodié pour accéder au royaume de Morphée et l’immensegénérosité du coeur de l’homme et son altruisme.
La dolceVita, si ! Au rythme du tam-tam de l’antique Afrique ou celui des signauxde fumée des lointaines Amériques. Que les choses étaient belles parfois, ditesbellement !
Quelles sontsouvent laides, aujourd’hui, chevauchant des hashtags asexués pour vomir que laideurs !
Dans cemagma technologique, érigé en empire de tous les ‘’no-limits’’, des spécimensde hashtageurs algériens se hasardent à prôner le racisme anti black et casserdu subsaharien.
A l’instarde ces tristes sires, usurpateurs éhontés qui polluent presse et médias et quile revendiquent aussi, ils veulent bien refaire le monde au mode geek et nerd,oubliant que le monde a été, au moins à ce chapitre, irréversiblement refait parMartin Luther King.
Alors ?
Alors, hashtagtoi-même !