… ou ‘’Oudjouh el bokhss’’ dans le vocable bien de chez nous, ces édiles à- minima- 2 mandats municipaux et à -maxima- pas moins de quatre.
Quand ils trônent- présentement- en haut des listes dans la course aux mairies.
Quand durant leurs éternelles mandatures ont-ils réussi l’exploit de faire de leurs municipalités- même les plus urbaines- de désolantes zones d’ombre, jusque dans les viscères de la Capitale.
Chaussées et trottoirs défoncés- mètre par mètre- Rafistolés par des à coups à coûts de milliards. Au nom d’une concussion bien payante. Qui ne dit jamais son nom.
Environnement hideux. Répugnant. Dangereux-souvent- Les monts d’immondices en saillies.
Pratiques occultes allant du passe-droit administratif à celui du moindre avantage social. Payés en espèces. Réglés en ‘’nature’’. C’est selon.
‘’Issaba’’ grandeur nature dans le confort de l’anonymat. Puisant- par ci- dans le trésor public et dans les niaiseries du citoyen- par là.
Grâce aux méandres du Marché public et les-improbables- consultations techniques.
Grâce surtout à une ''cupidité citoyenne'' où l’on peut arriver- hélas- jusqu'à à vendre son âme au diable- en temps de campagne-
Pour ‘’une poignée de dinars’’. Ou ‘’pour quelques dinars de plus’’ !