Une semaineaprès le Nouvel An de grâce- festoyé dans la polémique du yadjouz la yadjouz-les Algériens retombent sur terre pour revenir au terre-à-terre de leurs tracasquotidiens.
Plaise àDieu, ils restent toujours infinis !
Mieux, ilsempirent !
Laboustifaille flambe. La grippe sévit. Le médicament vient à manquer.
Et pasque !
Les toutfrais édiles- sûrement grisés, coup sur coup, par leur élection et les fastesdu Réveillon- ne bougent toujours pas le popotin pour offrir le smig du bien-être à des quidams qui font le parfait dindon de la farce.
Ordures etpoint noirs sont toujours là.
Et à cespremières petites pluies made in 2018, les écoliers effectuèrent leur rentréesur les mêmes trottoirs et chaussées défoncées, devenues lagunes les douchantgénéreusement à des eaux saumâtres par des automobilistes qui n’ont dû faireaucune résolution de civisme par le Nouvel An !
En somme,rien n’a changé -quand cela n’a pas empiré !-
La gueule debois risque de durer !