Comme je l’ai démontré dans un ouvrage parue à l’Office des Publications Universitaires (OPU Alger 1983) « valeur, prix et croissance économique», en référence à la théorie de la thermodynamique le monde est en perpétuel mouvement. Même la pierre et notre univers (avec le réchauffement climatique influences géostratégiques sur la cartographie géographique mondiale) que l’on croit inerte se décompose lentement à travers les décennies et les siècles. La société n’échappe pas à cette règle ou les mouvements culturels ( qui seront prépondérants entre 2030/2040), économiques, sociaux, politiques avec des acteurs n’ayant pas toujours les mêmes objectifs, engendrent des transformations soit positive sou négatives. Le temps ne se rattrape jamais en économie que l’on pout définir comme la maitrise et le gain du temps. Toute Nation qui n’avance pas recule forcément mes de niveau de vie comparée aux profondes transformations mondiales C’est dans ce cadre que le défit du futur président peut se résumer ainsi : soit une véritable stratégie d’adaptation à ce monde turbulent et instable, de profondes réformes afin de favoriser le développement durable ou une régression de l’Algérie tant dans le domaine économique , social, politique et militaire dans la mesure ou le véritable pouvoir économique mondial et l’influence diplomatique au niveau de la diplomatie repose sur une économie forte, où les deux pivots du développement du XXIème siècle sont la bonne gouvernance et la maitrise du savoir étant l’’aube de la quatrième révolution économique mondiale 2020/20030.
1.-La bonne gouvernance condition d’atténuation des tensions sociales
En attendant qu'un véritable processus démocratique se déclenche fonction des rapports de forces et de la dynamisation de la société, , seule solution à terme pour le pays, en ce mois d’août 2018, après plusieurs décennies d’indépendance politique, deux institutions garantissent la sécurité du pays: d'une part l'ANP et toutes les forces de sécurité, étant la seule force organisée devant se limiter à ses fonctions constitutionnelles, les partis dans leur immense majorité et la société civile atomisés, déconnectés des réalités sociales et mondiales, ayant de moins en moins d’impacts sur la mobilisation citoyenne et d'autre part, sur le plan économique,la rente des hydrocarbures, l’Algérie c’est Sonatrach et Sonatrach , impliquant un nouveau management stratégique ( voir notre étude HEC Montréal Canada 2012), c’est l’Algérie procurant toujours plus de 98% directement et indirectement des recettes en devises du pays, influant sur le taux de croissance via la dépense publique et donc sur le niveau de l’emploi, le taux d’inflation, les réserves de change et du fait qu’en ce XXIème siècle le véritable pouvoir mondial étant économique sur l’impact de l’Algérie sur la scène internationale. Il n’est plus permis aujourd’hui de faire l’impasse sur le rôle que des acteurs résidents, mus puissamment par des intérêts organiquement liés à la distribution de la rente, qui ont pu à un moment où à un autre peser dans un sens franchement défavorable aux réformes politiques et économiques. De même qu’il n’est plus possible, du point de vue de l’analyse aussi, d’occulter le rôle que d’autres acteurs, externes ceux-là, ont pu jouer dans un sens tout aussi défavorable, motivés qu’ils étaient eux aussi par la défense d’intérêts de groupes ou de personnes que la poursuite d’un commerce hautement lucratif rendait allergiques à toute velléité de changement et de réformes. Des acteurs internes aussi bien que des acteurs externes ont agi clairement dans le sens contraire, encourageant et défendant, par des moyens divers, la mise en œuvre de réformes dont la nécessité n’échappe à personne. Comme il n’est plus permis d’ignorer la nécessaire adaptation de l’Algérie face aux nouvelles mutations mondiales dont son devenir est dans l’espace euro-méditerranéen et africain expliquant mon initiative récente avec le professeur Camille Sari où nous avons coordonné un ouvrage collectif avec la participation de 36 experts de différentes spécialités algériens, marocains, tunisiens, libyens et européens paru aux Editions Harmattan à Paris 2015 ( 2 tomes 1050 pages).Il est admis parles observateurs impartiaux que l’Algérie contrairement aux discours pessimistes démobilisateurs, connaissant certes une situation difficile, ne traverse pas une crise financière mais une « crise de gouvernance, risquant, si l’on n’y prend pas garde, de se transformer en crise financière horizon 2020/2022 avec des incidences économiques, sociales, politiques et géostratégiques.. Les différents mouvements sociaux que connait l’Algérie actuellement reflètent une dynamique sociale normale que connaissent maints pays. Il s’agit d’imaginer de nouvelles méthodes de gestion sociales loin des schémas périmés du passé, responsabilité du gouvernement, afin d’éviter l’affrontement direct citoyens forces de sécurité qui rompt la confiance envers l’Etat. Il ne suffit pas de gérer la problématique des conflits sociaux par décrets, mais de changer le modèle de gouvernance ne pouvant plus réaliser une politique économique et sociale copiée sur les schémas des années 1970. Tout cela renvoie à l’efficacité et à la transparence des institutions qui doivent coller à la nouvelle réalité économique et sociale .Aussi, il faut éviter cette vision de sinistrose ou des déclarations de certains responsables avec des contradictions souvent de ministres, ignorant tant les profondes mutations sociales internes que les mécanises monétaires. Il y a lieu d’éviter des déclarations sans analyses objectives de certains, déclarations qui peuvent engendrer des tensions sociales inutiles et accroître les tensions inflationnistes que le cours officiel du dinar devrait être aligné sur celui du marché parallèle, chaque ministre devant se cantonner dans ses prérogatives selon l’adage « chacun son métier et les vaches seront bien gardés ». La surveillance de la cotation de la monnaie relève exclusivement de la banque d’Algérie, institution sous la haute autorité de son Excellence Mr le Président de la République et non de l’exécutif. Comme on ne gouverne pas par la peur, vision bureaucratique du passé mais par le dialogue productif. Ceux par exemple qui nous disent que nous nous dirigeons vers une crise semblable à celle de 1986, que nous ne pouvons payer les salaires et les retraités, ignorent qu’à cette époque l’Algérie croulait sous l’effet de la dette, et les caisses de l’Etat étaient vides. A fin 2018, les réserves de change seraient arrêtées à 83/84 milliards de dollars et la dette extérieure environ à 6 milliards de dollars. A court terme, contrairement à certaines supputations, j’écarte une implosion sociale du moins pendant ces deux prochaines années, sous réserve de revoir le mode de gestions sociale, rendant urgent une stratégie de développement fiable dès maintenant, (gouverner c’est prévoir) et ce pour cinq raisons principales. Premièrement, l’Algérie n’est pas dans la situation de 1986, où les réserves de changes étaient presque inexistantes avec un endettement qui commençait à devenir pesant. Avec les réserves actuelles et une dette extérieure faible, ces réserves de changes, richesses virtuelles qu’il s’agit de transformer en richesses réelles, si elles sont bien utilisées, peuvent servir de tampon social. Deuxièmement, vu la crise du logement, le regroupement de la cellule familiale concerne une grande fraction de la population et les charges sont payées grâce au revenu familial global (même marmite, paiement des charges). Mais il faut faire attention : résoudre la crise du logement sans relancer la machine économique prépare à terme l’explosion sociale. Comment voulez-vous qu’un ménage vivant seul avec moins de 50.000 dinars/mois net puisse subvenir à ses besoins ? Troisièmement, grâce à leur travail, mais également aux mesures populistes, bon nombre de bas revenus ont bénéficié de logements sociaux presque gratuits, pénalisant les couches moyennes honnêtes qui ont mis des décennies de travail pour se permettre un logement décent, permettant aux familles algériennes une accumulation sous différentes formes. Cependant, il suffit de visiter les endroits officiels de vente de bijoux pour voir qu’il y a «déthésaurisation» et que cette épargne est, malheureusement, en train d’être dépensée face à la détérioration de leur pouvoir d’achat. Cela peut tenir encore deux à trois ans. A la fin de cette période tout peut arriver. Quatrièmement, l’Etat, malgré des tensions budgétaires qui iront en s’accroissant, les dispositions de la loi de finances 2018, continuent à subventionner les principaux produits de première nécessité. En revanche, à terme il s’agira de cibler les subventions qui, généralisées, sont insoutenables pour le budget. Cinquièmement,, la sphère informelle, produit de la bureaucratie, des dysfonctionnements des appareils de l’Etat, du manque de visibilité de la politique socio-économique (gouvernance locale et centrale) contrôlant plus de 50% du produit intérieur brut (PIB) hors Sonatrach, contrôlant 65% des produits de première nécessité et employant plus du tiers de la population active joue le rôle de tampon social..
2.-De l’Etat de « soutien » à l’Etat de justice
Pour l’Algérie, la gestion volontariste depuis l’indépendance, les enjeux de pouvoir internes, la crise économique, sociale et culturelle et, enfin les contraintes externes de plus en plus pesantes ont abouti à des changements, menés parfois à la hussarde, qui ont révélé une réalité bien amère : l’absence dramatique d’une véritable stratégie nationale d’adaptation à ce phénomène total et inexorable qu’est la mondialisation. La conjonction de facteurs endogènes et exogènes et l’intervention massive – parfois directe et par moment insidieuse – d’acteurs internes et externes- a abouti à une transition qui se traîne en longueur depuis des décennies et non pas seulement pour la période actuelle. La réussite des réformes institutionnelles et l’optimalisation de la dépense publique impliquent plus de décentralisation à ne pas confondre avec l’avatar néfaste du régionalisme et de la déconcentration qui renforce la bureaucratisation ainsi que de nouvelles formes de protection sociale. La vision centralisatrice jacobine annihile les créativités et la régionalisation économique est une voie salutaire pour bon nombre de pays évitant l’autoritarisme d’en haut de peu d’efficacité tant économique que sociale impliquant des institutions appropriées. Les réformes fondement de la transition socio-économique renvoient à la refondation de Etat qui implique de saisir les tendances réelles de la société algérienne face tant aux mutations internes que mondiales. Les exigences d’un Etat fort de sa droiture et de son droit, si elles constituent un outil vital pour la cohésion nationale et le destin de la nation, ne doivent pas occulter les besoins d’autonomie de pouvoirs locaux qui doivent être restructurés en fonction de leur histoire anthropologique et non en fonction des nécessités électoralistes ou clientélistes. La cohésion de ces espaces et leur implication dans la gestion de leurs intérêts et de leurs territorialités respectives enclencherait alors une dynamique de complétions positives et rendront la maîtrise des groupes plus faciles pour la centralité politique nationale. Le passage de l’Etat de « soutien » à l’Etat de justice est de mon point de vue un pari politique majeur, car il implique tout simplement un nouveau contrat social et un nouveau contrat politique entre la Nation et l’Etat. Car les réformes en profondeur du fonctionnement de la société algérienne et non des replâtrages organisationnels, impliquant d’analyser avec lucidité les relations dialectiques réformes et les segments de la production de la rente ( Sonatrach) et celui de sa redistribution ( système financier), bouleversent des intérêts, les gagnants de demain n’étant pas forcément ceux d’aujourd’hui. Lorsque la valeur de la rente des hydrocarbures s’accroit, paradoxalement les réformes sont freinées et l’on assiste à une redistribution passive de la rente pour une paix sociale éphémère avec l’extension de la corruption et une concentration excessive du revenu national au profit d’une minorité rentière. Ce couple contradictoire des forces politiques, économiques sociales défendant la rente ou les réformes explique l’instabilité juridique et le manque de cohérence et de visibilité dans la réforme globale L’Algérie ne peut revenir à elle même que si les faux privilèges sont bannis et les critères de compétence, de loyauté et d’innovation sont réinstaurés comme passerelles de la réussite et de promotion sociale. La compétence n’est nullement synonyme de postes dans la hiérarchie informelle, ni un positionnement dans la perception d’une rente. Et la compétence n’est pas un diplôme uniquement mais une conscience et une substance qui nourrissent les institutions et construisent les bases du savoir afin d’avoir un impact réel sur la dynamique sociale globale afin de réaliser les aspirations d’une Algérie arrimée à la modernité tout en préservant son authenticité. La refondation de l’Etat ne saurait se limiter à une réorganisation technique de l’autorité et des pouvoirs, étant une question d’intelligence et de légitimité réelle et non fictive. Cela implique des réaménagements dans l’organisation du pouvoir devant poser la problématique stratégique du futur rôle de l’Etat largement influencé par les effets de la mondialisation dans le développement économique et social notamment à travers une réelle décentralisation. Il s’agit de mettre en place une bonne gouvernance condition d’un développement multidimensionnel et d’atténuation des tensions sociales car il est important de cerner le concept de gouvernance en vogue actuellement devant nécessairement faire le pont entre la micro- gouvernance et de macro- gouvernance. Il existe des liens dialectiques entre la gouvernance politique centrale, locale et la gouvernance d’entreprise. D’où l’importance d’ une redéfinition du nouveau rôle de l’Etat dans le développement économique et social et d’une manière claire le droit de propriété, donc les relations entre l’Etat et le marché qui doivent procéder d’une démarche pragmatique par une définition des règles incitatives ; la production d’une culture politique participative, une communication institutionnelle efficiente et l’élaboration d’un nouveau consensus politique permettant de dégager une majorité significative dans le corps social en faveur des réformes. C’est une entreprise d’envergure consistant principalement :à réorganiser le champ de l’information et de la communication pour plus de concurrence car l’information en ce XXIème siècle n’est plus le quatrième pouvoir mais le cœur du pouvoir même ; réorganiser le mouvement syndical et associatif dont la promotion de la femme signe de la vitalité de toute société ; la réforme de la justice par l’application et l’adaptation du Droit tant par rapport aux mutations internes que du droit international ; adapter le système éducatif, centre d’élaboration et de diffusion de la culture et de l’idéologie de la résistance au changement et à la modernisation du pays ; la révision du foncier dans l’agriculture et une nouvelle politique de gestion de l’eau, cette or bleu qui risque de faire l’objet de guerres fratricides durant le XXIème siècle et concernant d’ailleurs tous les continents mais particulièrement l’Afrique (le cas des eaux du Nil qui traverse plusieurs territoires pour l’Afrique est à méditer) ; la réforme du système financier qui est un préalable essentiel à la relance de l’investissement public, privé national et étranger, les banques publiques et privées étant au cœur d’importants enjeux de pouvoir entre les partisans de l’ouverture et ceux de préservation des intérêts de la rente. La réforme du système financier est considérée, à juste titre, comme l’indice le plus probant de la volonté politique des Etats d’ouvrir ou non l’économie nationale à la libre entreprise.
En résumé , l’objet de cette contribution a été un bref rappel des conclusions de ces différentes conférences et travaux que j’ai eu à diriger de 1974 à 2017 d’une brulante actualité existant des liens entre les réformes politiques et économiques devant avoir une vision stratégique. Existant un lien dialectique entre le Politique et l’Economique où tout projet étant porté par forcément des forces sociales, souvent avec des intérêts différents, en démocratie les urnes la population tranchant sur le projet de société, où la minorité politique se soumet à la volonté de la majorité, tout en restant une force de propositions. Nous n’avons donc pas attendu les évènements récents et les différents rapports de la banque mondiale , du FMI ou de la COFACE pour proposer des solutions concrètes de sortie de crise pour l’Algérie (voir notre conférence devant le premier ministre et les différents membres du gouvernement au Palais des Nations le 26 novembre 2014 sur l'impact de la baisse du prix des hydrocarbures sur les équilibres macro-économiques et macro-sociaux, ayant averti qu’il fallait ne plus vivre de l’illusion de la rente éternelle pour éviter la dérive vénézuélienne. Cela faisait suite au débat que j’ai tenu à Radio France Internationale RFI Paris le 12 novembre 2014, avec le Pr Antoine Halff ex économiste en chef du gouvernement Barak Obama et directeur de la prospective à l’AIE , sur « les perspectives de la chute du cous des hydrocarbures et leurs impacts sur l’économie algérienne ». Comment ne pas rappeler que par le passé,(2005), j’ai eu l’honneur de coordonner plusieurs ouvrages pluridisciplinaires , d’une brulante actualité ,ayant abordé les réformes politiques, sociales et économiques, fruit d’un travail collectif à la rédaction duquel ont contribué des collègues spécialistes en anthropologie, en économie et en sciences politiques des universités d’Oran et d’Alger (Casbah Editions deux volumes 520 pages sous le titre réformes et démocratie- 2005) . A cette époque j’avais donné plusieurs conférences aux universités de Annaba, de Constantine, de Tizi Ouzou, de Bejaia , Mascara , Sid Bel Abbès , Tlemcen, d’Oran avant de clôturer à l’école nationale d’administration d’Alger (ENA) et ce afin pour expliquer notre démarche fondée sur l’alternance démocratique tenant compte de notre authenticité, afin d’arriver à une économie diversifiée hors hydrocarbures dans le cadre des valeurs internationales avec l’avènement de la quatrième révolution économique mondiale 2020/2030 Que de perte de temps et dommage que nous n’avons pas été écoutés. Mais devant privilégier uniquement les intérêts supérieurs de l’Algérie, il n’est jamais trop tard pour bien faire, devant éviter la sinistrose mais également l’autosatisfaction démagogique destructrice, l’Algérie possédant toutes les potentialités de sortie de crise, sous réserve d’une réelle volonté politique de profondes réformes structurelles. [email protected]
Références- en plus de toutes mes contributions parues sur le site www.algerie1.com (2015/2018), pour l’approfondissement de la partie économique, notamment sur les réformes voir différentes contributions du Pr Abderrahmane Mebtoul :
1.- Contribution internationale Londres/Bruxelles Site Mena Forum « Algeria, in an unfinished transition period Challenges of 2018, 2020 & 2030 Algeria: Reform » by Dr A. Mebtoul | Aug 5, 201 sur les contraintes de financement de l’économie algérienne du Pr A. Mebtoul au niveau international en anglais site Mena Forum(Bruxelles-Londres) « How to Energize the Algiers Bourse ? » by Dr A. Mebtoul | May 20188 - Ouvrage collectif sous la direction du professeur Abderrahmane MEBTOUL « Les enjeux de l’Algérie : réformes et démocratie » 2 volumes Casbah Edition Alger- 2005 (520 pages) Conférence du professeur Abderrahmane Mebtoul le 26 novembre 2014 au Club des Pins Palais des Nations Alger –en présence du premier ministre, de la majorité des membres du gouvernement et des cadres de la Nation- qui faisait suite au débat que j’ai tenu à Radio France Internationale RFI Paris le 12 novembre 2014, avec le Pr Antoine Halff ex économiste en chef du gouverne ment Barak Obama et directeur de la prospective à l’AIE , sur « les perspectives de la chute du cous des hydrocarbures et leurs impacts sur l’économie algérienne »
- Contributions (2015/2018) du Pr A.Mebtoul parues sur les sites www.algerie1.com- maghrebemergent-algeriepart-expressdz
-Interviews à l’American Herald Tribune 28 décembre 2016 (58 pages) et au quotidien financier français la Tribune.fr mars 2017 « toute déstabilisation de l’Algérie aurait un impact sur l’espace méditerranéen et africain »- A paraitre interview du Pr Abderrahmane Mebtoul- à l’American Herald Tribune fin aout 2018 sur le bilan et les perspectives de l’économie algérienne 2018/2020/2030 – en anglais (USA). -Ouvrage collectif « Les enjeux géostratégiques de l’intégration du grand Maghreb » Edition Harmattan Paris/ France – 2015 sous la direction d’Abderrahmane Mebtoul et de Camille Sari deux ouvrages (1050 pages) Le premier ouvrage collectif s’intitule, « quelle gouvernance et quelles institutions au Maghreb face aux enjeux géostratégiques ». Le second ouvrage collectif traite « de l’intégration économique maghrébine, un destin obligé. Contribution du professeur Abderrahmane Mebtoul Institut Français des Relations Internationales – IFRI- « La coopération Europe/Maghreb face aux enjeux géostratégiques 55 pages 04 avril 2011 » et du même auteur « la problématique de la sphère informelle au Maghreb (IFRI 28 pages 03 décembre 2013). L’Afrique, le Maghreb face aux enjeux des flux migratoires » site Afrik Press Paris France deux parties 24/27 juin 2018
2.-Sous le haut patronage de son Excellence Monsieur le président de la République Abdelaziz BOUTEFLIKA 1er Congrès sur la sécurité énergétique, alimentaire et de l’eau 01 avril 2018 CIC Alger- Face aux nouvelles mutations énergétiques mondiales :pour un nouveau mangement stratégique le 19 avril 2018 Professeur des universités, expert international, sous le Haut Parrainage de son Excellence, Monsieur le Président de la République Abdelaziz BOUTEFLIKA des 11è-me journées du JST de Sonatrach Oran du 16 au 19 avril 2018 -« l’Algérie face aux trafics et au terrorisme au niveau de la région sahélienne »- Ministère de la défense nationale -Institut de Documentation, d’Evaluation et de Prospective trafic des frontières et la sécurité au Sahel sous le patronage de Monsieur Ahmed GAID SALAH vice ministre de la défense nationale, chef d’Etat major de l’ANP. Le Pr Abderrahmane Mebtoul interviendra en décembre 2018 à l’invitation du Ministère de la défense nationale -Institut de Documentation, d’Evaluation et de Prospective qui organisera une rencotre internationale sur le thème « « l’environnement sécuritaire de l’Algérie en 2035 :quelles conséquences pour notre outil de défense »
- Intervention du professeur Abderrahmane Mebtoul à l’invitation de « l’Alliance pour Refonder la Gouvernance en Afrique (ARGA) » constituée d’importants acteurs africains et non africains)), qui a organisé une grande rencontre internationale entre le 26/30 janvier 2014 sur le thème « l’Afrique doit réinventer son économie », « face aux enjeux géostratégiques, le développement et la sécurité de l’Afrique doivent se fonder sur l’Etat de Droit et la bonne gouvernance ».
-Intervention du Professeur Abderrahmane Mebtoul invité d’honneur du Professeur Jean-Pierre Chevènement, président de l’Association Algérie-France et de la fondation Res Publica qui a organisé une rencontre avec d’importantes personnalités des deux rives de la Méditerranée en partenariat avec l‘Union européenne le 17 février 2014 à Paris sur le thème : « le Maghreb et l’Afrique face aux enjeux géostratégiques mondiales »
-Différentes interviews disponibles sur Facebook/twister -2016/2018 - Radio publique chaine 1, chaine 2, chaine 3, Radio Algérie internationale- Tv Africa 24 (Paris) TV Ennahar- Tv Chorouk, Tv Bilad- BeurTV- Tv Djazaiera - quotidien gouvernemental El Moudjahid : « élaborer une stratégie compatible avec la situation actuelle »26 aout 2017 -Révision de la loi sur les hydrocarbures : Les Cinq propositions du Pr Abderrahmane Mebtoul 04 mars 2018 - M. Abderrahmane Mebtoul, Expert International : « nécessité de dynamiser le système financier national » 29 mai 2018 - M. Abderrahmane Mebtoul, expert international, à propos du ciblage des subventions : « une Chambre nationale de compensation indépendante est nécessaire »07 juillet 2018 Contribution en deux parties quotidien gouvernemental Ech--chaab sur les défis de l’Algérie 2030- 12 janvier et 26 juillet 2018
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