Ça maugrée haut, ça tempête fort, ça débraie secchez les transporteurs privés de laCapitale. Et, par juste extrapolation,sûrement partout dans les grandes mégapoles du pays.
Les raisons de la colère ?L’entreprise publique des transports urbains et suburbains se redéploie par la grâce de grosses quantités de bus. Convenants et convenables. La nuanceici vaut le détour.
C’est que le confort à minima et uneponctualité qui ravirait bien des employeurs ainsi que le respect de l’usagerdans les faits gestes et propos qu’offre cette entreprise plongeant ses racines professionnelles dansl’Algérie toute professionnelle d’antan, est aux antipodes de ce qu’’’impose’’ le privé du même secteur.
Bagnoles-cagibis , déglinguées dansla plupart des cas, l’irrévérence frisant l’insolence, diktat et courses folles et dangereuses, ils ont encorel’outrecuidance de ruer dans lesbrancards en observant grèves pourchasser l’Etusa de quelques chassesgardées de la banlieue d’Alger.
Que cette grève soit éternelle.Amen !