Depuis le jour de la morttragique de l’enseignant de l’université de Khémis Miliana, wilaya d’Ain Defla,le ministre de l’enseignement supérieur Tahar Hadjar n’a cessé d’enchainer dessorties médiatiques  pour dire et répétéà l’envie  que l’affaire n’a rien à voiravec son ministère, qu’elle n’a aucun rapport avec la pédagogie et que et  que…

Aujourd'hui il fait une déclaration où il affirme que le meurtre est consécutif à une affaire de mœurs. L’insistancede Hadjar, qui tourne presque à l’obsession, est pour le moins intrigante, caril aurait dû s’en tenir au devoir de réserve.

Il n’a pas vocation à communiquersur une affaire qui n’en est qu’au stade de l’enquête. Seule la justice esthabilitée à fournir, le cas échéant, des éléments d’information. Bizarre quand même  cetteinsistance de Hadjar à vouloir se mettre sous les feux de la rampe !