Un conglomérat de petites formations politiques islamistes, regroupées au sein de l'Union Ennahda-El Adala- El Bina a protesté contre l'exclusion par l'administration algérienne de plusieurs de leurs candidats aux élections locales du 23 novembre 2017.
En effet, 50 candidats aux APC ont été exclus des listes pour leur apparence à l'ex FIS dissous. Ce rejet a bien entendu été condamné par les responsables de ces partis, qui avaient décidé en janvier 2017 de sceller une alliance en vue des élections législatives et locales.
Pour rappel, cette alliance est composée d'Ennahda dirigée par Mohamed Douibi, El-Adala (FJD) par Abdallah Djaballah et El Bina par Mustapha Boumehdi.