Les adversaires de Djamel Ould Abbès ont fait le bon choix d’enterrer provisoirement la hache de guerre pour s’impliquer dans la campagne élctorale en faveur des listes du parti. C’est ainsi que Abdalaziz Belkhadem a animé hier deux meetings à Khenchela et Oum El Bouaghi.

Même Abderrahmane Belayat, l’ennemi intime de Ould Abbès, a décidé de ravaler sa rancune en président un meeting à El Bayadh. Mais pas que, puisque d’autres caciques, comme Amar Tou, Rachid Haroubia et Rachid Benaissa sont entrés en action.

Question : la participation de ces caciques est-elle un prélude à leur retour au sein du parti, après les élections ?.

 Si c’est le cas, Ould Abbès a du mouron à se faire, car on les voit mal se satisfaire de seconds rôles.