Fait diversinsolite mais dramatique au bureau du procureur de Birman.
Entendustous les deux, par le représentant de la loi dans son bureau, le prévenudéfigure sa victime à la lame de rasoir.
Pour les initiés, un tel délit doit êtredéfini quelque part dans la Loi. Pour nous autres, populos, il ne peut l’être.Et pour une fois, peut-être, le peuple a raison. Et des raisons encore decommencer à avoir peur de telles truanderies!
Au royaumesolennel et sentencieux des robes noires et des couloirs des pas perdus, çacommence, sérieux, à bien à y faire. La chronique consigne de plus en plus desoutrages à magistrats, voire des menaces en pleines audiences publiques , lesfemmes plus ciblées que les hommes.
Des œuvrespsychédéliques de despérados en manque de joints, de snifs ou de cracks, c’estselon.
Les bellesâmes, à l’image des ‘’droitshomistes’’ y trouveront défense, s’emmêlant lespinceaux ente la cause et l’effet.
Seulementvoilà : si le juge, le flic ou le gendarme n’est plus à l’abri au nom de ladrogue et ses paumés, quid de monsieur tout le monde ?
La réponseviendra, sans doute, le jour, ou de guerre lasse, la population se mettra aussien mode hasch et cocke. Et arrive qui plante !