L’on peuttoujours supposer que Madjer ait été désigné coach national sur injonction d’en’’ haut lieu’’. C’est-à-dire nulle part- ou quelque part dans les bureauxfeutrés de la Présidence, selon l’entendement populaire qui en donne crédit-
Dans la mêmeveine, on peut croire que la FAF, ainsi réprimandée, s’est un tantinet vengée-maisen douceur- en imposant à l’homme de Vienne, des adjoints, loin d’être desenfants de chœur.
Toujours,dans ce sillage des grandes suppositions, l’on peut tout aussi bien extrapolersur le coup de fil qu’aurait donné Raouraoua, le prince déchu de Dely Ibrahim àson nouveau ex-ami et allié Hafid Derradji de farfouiller dans une vielle Ordonnancesur les sports.
Histoire devoir comment court circuiter, au voltage de la loi, l’éligibilité de Madjer àla tête du onze national.
Le championd’Europe 87, doit réinventer une autre talonnade, pour se sortir d’une ‘’Dantesque’’à l’algérienne.
En plus decette jurisprudence qui acte deux passages déjà à la barre de l’EN !