On a lacrise, c’est bon, on dit pas. On sait que ça va brûler. Tout et partout. Saufla planche à billets. Malheureusement ou heureusement ? Seul Ouyahiaconnait la réponse.
Mais lespopulos s’accrochent- quand même- car il y a une vie à mener. A vivre contrevents et marées. Dans nos haines, désormais à la mode, et dans nos amourstêtus.
Dans cettevaillante résistance, faudra-t-il un zeste de sérénité.
Surtout pasde ces livrées de pessimisme, servies aux trois repas du jour, durant la siesteet même en sommeil paradoxal. En H24, quoi ! Comme l’eau à ses temps degloire.
Ça vouszigouille le mental à la fin, ces tocsins de l’Apocalypse et autre croassementsde corbeaux noirs qui asphyxient le cerveau, au nom de l’ambition, du pouvoiret du ‘’saint koursi’’ !
Alors, aérezun peu et donnez de l’air Svp ; Dieu vous le rendra !