A l’heure oùles grands stratèges de ce monde grillent leurs neurones pour trouver deséchappatoires aux crises multidimensionnelles qui guettent leurs pays- les plusavancés-, chez nous le ton est à la guéguerre- quasi puérile- en tout genre.
Avec un chocde dogmes religieux, à l’avant-garde. Et la fitnaque tout le monde dénonce. Et que tout le monde prône- sans le dire-en fin decompte !
La récentesortie du dépositaire autoproclamé du salafisme- intra muros- le prédicateurMohamed Ali Ferkous, participe d’une telle ambiance fiévreusement religieuse.
A croire queprès de quinze siècles après le Prophète Mohamed-QSSL- l’Algérie, plusmusulmane que partout ailleurs, a encore besoin de prêches, appelant à l’exclusionet la supériorité dans le ressenti religieux.
Au moment oùle pays, en sus de prière à la tonalité sincère et foncièrement pieuse, abesoin encore plus de pragmatisme et de pensée savante pour s’en sortir d’unecrise financière, bassement, matérielle.
Mais, aussi -etsurtout- de périls sécuritaires, hautement, fondés.
ET dontpareilles harangues peuvent faire le lit !