Quand cet immense modèle du parfaitcommis de l’Etat, s’essaie à la danse du ventre, forcément il s’en dégage desnuages de poussière à même d’asphyxier l’atmosphère et les hommes.
Un peu à l’effet de ces vents du subsaharien,denses, forts, violents et secs et chauds. Surtout chauds.
Et tilt, le mot est lancé ! Dusubsaharien. Et du subsaharien, Ahmed Ouyahia, pour ne pas le nommer, en cassecette fois-ci.
Transes subséquentes à une danse tropprononcée ? On n’y pige que dalle pour l’heure, mais le directeur ducabinet présidentiel et chef du RND, alias le bébé moustachu, a accablé sanspitié les réfugiés africains, fuyant quila mort, qui la misère et la famine.
Ouyahia a ramassé, incroyablement,toute cette "gueusaille" - malgrè elle, pour la mettre dans un même sac avecune étiquette inhumaine et surtout antinomique des valeurs désormais éculées dece pays : ‘’ Attention, léproserie virale dangereuse’’ !
Quelle mouche a donc piqué lamoustache de Si Ahmed ? Les méandres de la politique, restent, comme lesvoies du Seigneur, impénétrables!
Une certitude pourtant : l’hommea toujours su comment mettre ses pas.
Ceux de la danse du ventre qu’ilvient d’effectuer, et en tout état de cause, semblent avoir déclenché une autre: la dansedu scalp.
Le sien, pour être précis !