NoureddineBoukrouh, grand adepte du Benabbisme devant l’Eternel, éruditpluridisciplinaire devant les généraux de l’Armée et Commis de l’Etat et exchef de parti devant les hommes, a cette déformation dont ne peuvent couper lesgens immenses qui se noient parfois, à force de brasser, dans des mers delexicologie.
On lui doit,entre autres, de succulents pataquès tels ‘’Ghachi’’ pour dire peuple,‘’Bounadem’’ pour la personne et ‘’Djoudan’’ pour l’adjudant etc...
Si l’oncomprend par-là que Boukrouh reste profondément ancré à la racine populaire,l’intello pur et dur qu’il est devrait veiller à ne pas sombrer dans lepéjoratif estomaquant.
Les platesexcuses formulées récemment à tous les adjudants des corps constitués, peuvent neservir à rien, la raillerie prenant, déjà, le train de la postérité !