Le pays est-il devenu une société detartufes, une jungle en folie que masque à peine l'apparat religieux ?
Les prises déformantes que renvoie -auquotidien- la scène publique donne une profonde répulsion. Enrobée de la chairde poule.
Chantre à tue-tête -pour la galerie ?- des vertus et de valeurs -devenues chimères,l’Algérien- l’exception confirmant la règle- vogue par un tour de passe-passe psychopathique.
Du grand émotionnel versant la larme devantl’infortune du voisin et de ‘’Khouya’’ -Tant que celui-ci ne touche pas à sonterritoire-.
A l’agresseur forcené -parfois pourdes clopinettes-. Et où le crime de sang -ignoble, abject- ne ferait pasdéfaut. Et qui gagne du terrain.
Devant des agissements qu’on attribue -pour la plupart- à l’addiction aux psychotropes,le lambda du coin ressasse sa prière «qu’Allah nous en préserve, seulement !».Résigné. Passif. Pleutre par défaut !
Quid de l’Etat ? Il est peut-être temps de faire appliquer la repentance, suivant les grands remèdes. Pour lesgrands maux.
Sans état d’âme, ni syndrome du ‘’droitdel'hommiste’’.Sans grâce présidentielle, ni ‘’cellule toutes options’’ !