Depuis lepremier crime odieux commis sur la petite Chaïma à Zeralda- sans parler desadultes- en 2012, combien d’autres sont survenus depuis, défrayant la chroniquesociale qui s’épanche sur des modus operandi redoublant d’horreurs etd’atrocités.
A renvoyer àleurs classes- de psychopathes- tous les Jack éventreurs de l’Histoire- etleurs congénères-
Lacomptabilité macabre voit ses compteurs s’affoler depuis peu. Mais- faut-ilcroire- elle n’est même pas confinée à la rubrique des chiens écrasés.
Ni surl’agenda du glorieux hirak- qui n’en réserve même pas un filet sur sesbanderoles. Ni sur celui de la tout autant glorieuse institution militaire encharge de ‘’déverminiser’’ la société.
A croirequ’égorger un chérubin, démembrer ou faire carboniser un être humain est troisfois anodin par rapport aux crimes politico- économiques.
Les bonnesconsciences s’abritent derrière la volonté de Dieu et… celle des drogués dont elles dédouanent les actes par leur psychédélisme.
En l’absenced’exemples qui serviraient… d’exemple, la vermine continuera d’occire- au nom desstups et de l’impunité- des enfants pas plus haut que trois pommes.
Il y avraiment non- assistance à société en danger !