En Arabie saoudite,richissime Royaume s’il s’en trouve, et dès qu’il s’agit de pèze, ça vous sortplein d’idées de sous le turban.
Lesmilliards de pétrodollars du premier producteur mondial de ‘’naft’’ etles millions du même billet vert tirés du ‘’maoussem el hadj’’ semblent ne plussuffire aux augustes cheikhs wahabbites.
Alors depuisce mois, les travailleurs expatriés sont astreints à une taxe mensuelle qui vaaller en se multipliant presqu’à l’infini sur dix ans et plus.
Passe encorepour les magnats des affaires qui tètent généreusement à la mamelle de la‘’chamelle d’or’’.
Mais faut-ilavoir une pensée pour tous ces damnés sur terre d’Asie et d’ailleurs, confinésdéjà à des travaux de peine et des brimades souvent inhumaines, et qui vontrogner de ce fait sur leur maigre pitance.
Tous leurspécules réunis font à peine une goutte d’eau, que le Royaume entend détourner,désormais, vers son vaste Océan de richesses !