En réaction aux critiques haineuses, insensées et maladroites formulées par certains professionnels du cinéma, ainsi que des journalistes, qui se sont opposés injustement à la nomination de Salim Aggar, Directeur du Centre Algérien de la Cinématographie (CAC) Cinémathèque algérienne, des professionnels du grand écran ont pris la défense de notre confrère.
Ces professionnels qui l'ont vu grandir dans le cinéma, ont indiqué à notre journal que « Salim Aggar est réalisateur, critique de cinéma et journaliste et par delà ses qualités, il est la synthèse de la subtilité de ces trois métiers ».
Et nos interlocuteurs de poursuivre en indiquant que "Les compétences de Salim Aggar ne sont plus à démontrer et ces attaques n'ont aucune justification à part être sous-tendues par une attitude corporatiste voire sectaire et c'est ce qui doit faire le plus de mal à ses détracteurs".
"Donnez-lui du temps, une année, voire deux, et vous verrez le bilan de la cinémathèque", font-ils justement remarquer.
Cela étant dit, le ministère de la Culture, qui a procédé à cette nomination, devrait se démarquer publiquement de ces attaques injustifiées et défendre son choix en la personne d'un vrai professionnel du cinéma.