Grand jourde liesse. Celle des cœurs. De l’amitié et des grandes valeurs. Morales.Surtout. De la tolérance. Dans toutes ses dimensions. De l’humilité. Où seuls accèdentles hommes de la race des seigneurs.
Mais pourcela, souffre que l’on t’encense un peu, bonhomme- même si cela reste trop peu -
Un pan del’envergure du Mont Djurdjura- et de tous les monts de la contrée reprend saplace-. Et le maitre des arts lyriques reprend la sienne. Fortement amarréedans nos cœurs.
Idir estvenu. Revenu. Chez lui. Chez nous.
Idir aparlé. Avec des mots simples et beaux. Spontanés et sincères. De ceux quitouchent la fibre. Et mouchent- sans le vouloir- la doxa canaille.
Quientendrait mieux qu’il fût commun des mortels. A ânonner des thèses incultes.Lui, le docte savant de la mélodie et des pulsions de l'Homme. Le troubadour des amours de l’Humanité. Sommité qui pourfend toutes lespetitesses !
Idirchantera. Chez lui. Dans des salles archi pleines. Pour dire, avec leraffinement des grands philantropes que l’Algérie enfante toujours des prodigesqui lui ressemblent. Comme aux temps de sa grâce et de sa sérénité.
L’ Algérieimmortelle. Celle d’Idir… l’éternel !