NoureddineBedoui- ministre de la République- a parlé. A-surtout- réitéré l’engagement dela puissance publique à éradiquer les squatteurs des espaces publiques- de cesnervis qui placent, souvent, des maires à ‘’Chkara’’ puis en usent etabusent- Dont la plage.
Où la vietrouve toutes ses pulsions festives. Décrétée libre et gratuite. Envers etcontre le gourdin de la Canaille. Sa matraque. Sa barre de fer.
De sonlointain Meghaier, Zoubir Aïssa a écouté. Entendu. Et assimilé- comme le fait,mieux que tout autre, le citoyen de l’Algérie profonde- des principes de laRépublique.
Face à sonassassin à Souk el tenine- à Bgayet, la millénaire hospitalière pourtant-Zoubir aurait pu adopter ce profil lâche- qui habille désormais la communauté-et abdiquer.
S’il n’avaitentendu Bedoui ?
Opiniâtrecitoyen de l’Algérie profonde, il a résisté. Il en est mort.
Qu’il trouve par- là, le plus humble des hommages !