Ci et là, àl’ombre du ‘’hirak’’- en marche- à effet de tsunami, quelques spectres.Exécrables. Agités par une- autre- bande de prédateurs. De loin la plus nocive.

Parce quemordant ‘’tranquillos’’ - et à la rage- dans le denier public.

Et surtout malélue. Ou alors si bien. Par la grâce de la ‘’chkara’’- Et tout ce qui va avec.

Entendre,par- là, des cerbères rétribués au pognon cash- ou alors via les transactionsinter consultations des marchés- et qui se la jouent barbouzes, le cran enmoins.

Ainsi danscette riche commune de la Capitale, minée par la malversation tous azimut et letraficotage à ‘’Mairie ouverte’’, des citoyens qui tentaient de réfléchir à unmeilleur sort de leur ville, ont eu maille à partir avec des hommes de paillede Monsieur le P/APC.

«Touchepas à mon maire !» qu’ils ont dit, semblant se curer les dents avecdes ''brins de ‘ristourne’’ moisie.

«Cool lesmecs, On s’éclaire- en toute démocratie- au briquet. Seuls le foin et la paillerisquent de brûler, que diantre !».

Et ceux qui en ont dans le ventre?